(Yep... En parlant d'abandonner, faudrait qu'on introduise le fameux prof mangemort. (j'pense) si l'une de vous a des idées à ce sujet là ?)

Pseudo: Moi
Nom: Stuart
Prénom: Bartholeme (Bart)
Age: 16 ans (6ème année)
Caractère: Bart aime les jeux. Et il aime les gagner. Il aime également les énigmes, et trouver les réponses. Il adore mettre les gens mal à l'aise, c'est son petit passe temps. De cela en découle une franchise à toute épreuve, il n'a pas peur de blesser, il ment donc très rarement. Bart fait rarement de mystères, il fait tout de suite comprendre pourquoi il agit de tel ou tel manière, et ce qu'il veut. Il a un côté perfectionniste, que ce soit avec ses plans, ses conquêtes, son apparence ou ses études. Il peut très vite être passionné, pour apprendre, pour manipuler, pour jouer, pour tout. Il le vie très mal quand quelque chose ne se passe pas comme il le veut, et à tendance à tout extérioriser dans ces moment là, du à sa franchise.
Maison: Serdaigle
Lien de famille avec autre personnage: Hectorine Stuart (Soeur), c'est le neveu des frères Pars
Baguette (bois, constituant, longueur):Pommier, Crin de Licorne, 26.5 cm
Matière choisis si passé la troisième année (Les matières qui ne sont pas en gras): Arithmancie et étude des runes
Matière choisis si passé la sixième année: Potion, Métamorphose, Sortilèges, Arithmancie, Etude des runes, Défense contre les forces du mal, Botanique, Histoire de la magie
Membre d'un club ? Non
Histoire:
Batholeme et Hectorine sont les enfants de Candice Pars, la petite soeur de Bruce et Peter Pars, les deux célèbres aurores du ministères, tous deux chargés alternativement de la protection de Poudlard.
Ils ont grandit à Londres, et ont connu une vie plus que luxueuse. Leur père est en effet l'assistant personnel du patron de Gringott, la banque des sorciers, et perçoit un revenu plus que confortable.
Leur père étant un né Moldue, et tenant à ce que l'éducation basique de ses enfants soit parfaite, il les envoya dans une école moldue jusqu'à leur entrée à Poudlard. C'était l'une des meilleurs de Londres. Son choix se vu totalement respecter par la branche Pars de la famille, qui considérait en effet comme un avantage de pouvoir se fondre par la suite parmi les Moldues pour les jumeaux.
De cette éducation partiellement sans magie, Bart ne garda aucun mauvais souvenir. Tout se passa bien pour lui, il était premier de la classe et passait son temps au club de jeu de société de l'école.
A son arrivé à Poudlard, il fut sans grande surprise pour personnes envoyé à Serdaigle, comme tous ses ancêtres avant lui.
L'utilisation de la magie ne le fit pas vraiment changer, Bart restait Bart, à toujours chercher un moyen de s'amuser d'autrui. Ce qu'il réussissait plutôt bien.
Les gens commençaient à le connaître et à l'éviter. Comme dans son école de moldue, Bart n'avait pas d'amis. Seulement sa soeur, avec qui il était très proche.
Lors de sa quatrième année, Bart fut cependant surprit de découvrir que certains ne se laissaient pas si facilement que ça mettre en boite. Ce fut d'abord une déception, puis un vrai défi, en la personnes de Bryan Miller, un septième année de Gryffondor à l'époque. Dès que Bart arrivait, tentant de le mettre mal à l'aise, Bryan s'en sortait toujours avec un léger sourire et un haussement d'épaules, sans jamais plus réagir que ça.
Bartholeme finit par s'y attacher. C'était la première fois qu'il éprouvait ce genres de sentiments pour quelqu'un, et la manière dons il se laissa porter l'effraya presque. Très rapidement il commença à sortir avec Bryan, avec cependant un très léger soucis... Le Bryan en question avait déjà une petite copine, également en septième année, et qui devait à tout prix ne rien savoir pour Bart.
Leur aventure s'arrêta quand Bryan quitta Poudlard, et que Bart reçu un faire-part de fiançailles de lui et sa petite amie. Ce premier chagrin d'amour le conduit à s'enfermer chez lui, et dévorer tous les livres lui tombant sous la main.
Les aventures d'Edgar Pills.
Trois tomes. Tous brillants à ses yeux. Ils racontaient l'histoire d'Edgar Pills, un jeune homme passionné par les potions et faisant le tours du monde à la recherche d'ingrédients. L'auteur était plus que réel, aussi Bart entreprit de lui écrire une lettre pour lui exposer à quel point il aimait ses livres, et tenter de recevoir le dernier exemplaire dédicacé.
Il commença une correspondance assidue avec Edgar Pills, qui s'avérait également plus facile que prévu à mettre mal à l'aise au travers de ses lettres. Trouvant cela très drôle, Bart s'autorisa à passer un peu de bon temps avec Edgar pendant les grandes vacances de cette année là. Mais très vite lassé du manque de la naïveté du jeune homme, il profita de son entrée en cinquième année pour se arrêter de lui écrire.
Il obtint douze buses, et devint officiellement la petite fierté de la famille. Tant pis s'il était incapable de se faire des amis, c'était une grande fierté qu'il soit aussi brillant.
Pour le féliciter, et lui donner de l'ambition, son père l’entraîna pendant plusieurs jours à son travail. Ce fut une révélation pour Bart, JAMAIS au grand JAMAIS il ne travaillerait à Gringotts. Les gobelins étaient trop malins, pas assez amusants. La seule chose qui l'intéressa fut le stagiaire de son père, Bill Paw. Mais tous ses espoirs furent brisés par sa soeur, Hectorine, qui les trouvant un jour tous les deux au coin de leur rue à Londres, alla tout cafter à ses parents, dans l'espoirs de passer petite fierté familiale à la place de Bart. Forcément, Bill étant plus âgé, on lui demanda d'aller voir ailleurs, ce qui frustra énormément Bart qui en garda une rancune assez prononcée pour sa soeur.
Si jusqu'ici, ils avaient toujours été très proches, cet été avant leur sixième année s'avéra fratricide pour leur relation. Hecky décida en effet de ne plus laisser son frère faire ce qu'il voulait avec qui que ce soit, et Bart se jura de trouver un moyen de se venger d'elle. Le problème c'est que dès la rentrée, Hectorine commençait à l'empêcher de jouer avec les autres, et que lui même, ne trouvait pas d'occasions de se venger d'elle.
Description: Bart doit mesurer un peu plus d'un mètre soixante dix. Il a les cheveux noirs, lisses, mi longs. Son visage est long et fin. Son nez droit, et ses yeux sont grands, arrondis et verts. Son teint est pâle, et il porte souvent des lunettes, alors qu'il n'a aucun défaut visuel. Juste pour faire plus sérieux. Son corps est assez fin en général, mais athlétique, Bart répond au dicton: Un esprit sain dans un corps sain.

Dernière modification par lucimaru (2016-03-15 00:06:48)

(Ok, je suis partante pour le prof de potion. Si quelqu'un veut le faire plus que tout dites le :'D Sinon ça devient un PNJ o/
Je propose qu'on relance le Rp, genre sur le temps du midi. Essaie de faire revivre le petit Loki et la petite Sharon à ce moment là Cam :p)

(Pas de soucis, fais le si tu le sens :p)

Il était bientôt l'heure du repas, et Livie sortit de sa salle de défense contre les forces du mal. Devant elle, elle vit la touffe brune de Flavien s'éloigner le plus rapidement possible sans dire quoi que ce soit à qui que ce soit.
Il voulait éviter de discuter de ce qu'il venait de se passer.
Elle soupira, et prit le chemin de la salle commune des Poufsouffle, où elle allait retrouver Charlie, qui n'avait pas ce cours en commun avec eux. Elle la croisa sur le chemin, elle revenait de son cours de botanique.
Livie lui décrocha un sourire chaleureux. Sa baisse de tension du matin même n'était qu'un mauvais souvenir.
-Allez viens, on va encore manger avec les Serpentards, j'ai aucune envie d'attendre et de passer les derniers !
Elle entraîna son amie elle, vers le hall. Les Gryffondors, dons Flavien et Vector, étaient déjà à l'intérieur en train de manger, et les Serpentards attendaient là. Livie chercha Erin du regard, et finit par retrouver son fauteuil. Elle se dirigea vers elle, et vérifia qu'hormis la blonde et Charlie personnes n'entende pour chuchoter:
-Il faudrait que je te parle. Il s'est passé quelque chose en cours, avec Flavien.
-Plus tard Holmes ! grinça une voix derrière elle.
Livie se retourna, faisant face à... Bartholeme Stuart, et son gang de "surveillants". Elle l'avait vraiment mal prit qu'ils reforment la brigade... Et encore pire, qu'ils la reforme sans aucun membres de l'ancienne ! Bart était un chef misérable à côté de Flavien, à son humble avis à elle. Livie soupira:
-Vas voir ailleurs si j'y suis, Stuart.
La bonne vieille répartie de Livie. L'intimider était toujours une partie de plaisir pour Bart, qui devait se montrer vraiment odieux avec elle pour y arriver. Si les autres étaient facilement mit mal à l'aise, Freeman et Holmes étaient du même acabits: Tout de suite montrer les crocs. Alors forcément, c'était plus violent, et Bart devait supporter leurs remarques encore plus désobligeantes que les siennes parfois.
-Vous allez retourner dans votre dortoir, et attendre gentiment votre tour, Johnson et toi. Vous n'êtes plus si haut gradé qu'avant Holmes. Vous avez peut-être eu votre petit quart d'heure de gloire dans les médias, mais maintenant que vous êtes de retour à Poudlard, vous allez devoir vous plier aux règles comme tout le monde !
-On a une dérogation spéciale pour les repas. Vas donc demander à ton "tonton Pars", espèce de pistonné !
Bart soupira, comme s'il avait vraiment eu besoin d'être pistonné pour être là où il était. C'était l'un des meilleurs élèves de sixième année.
-Une dérogation ? Vraiment ?! Tu sais entre nous Holmes, tu as largement de quoi tenir une heure sans manger... Voir un mois si tu veux mon avis... avec des hanches pareille... Comment tu fais pour encore plaire aux garçons ?
Livie vira au rouge colère, devant un Bart plutôt satisfait de lui même. Les joutes verbales avec Holmes étaient compliquées, mais il adorait gagner.
-C'est vrai que tu t'y connais toi, en goûts de garçons. Au sens premier comme figuré...
Bart arqua un sourcils, il ne sembla pas plus touché que ça, en fait, il se demandait surtout comment elle avait pu savoir ça:
-C'est sûr que j'en ai vu plus que toi. Surement à cause de tes hanches. Et puis, j'ai toujours trouvé votre lien assez "louche" avec Jonhson.
L'expression de Livie dépassa le stade de la simple colère. Elle sembla sur le point de le gifler. Et Bart en parut ravis. Encore gagné. C'était décidément trop facile.
-Allez Holmes, dégage de là.
-Non. J'ai une dérogation je te dis ! J'ai fais une baisse de tension ce matin ! Va donc brasser l'air ailleurs. Et Jonhson doit pousser le fauteuil de Freeman. Il y a qu'un Poufsouffle pour faire ça.
Bart lança un regard de dédain à Erin:
-Ah oui, c'est vrai. Elle n'est plus capable de se déplacer toute seule.
Il vit Livie agripper sa baguette et le menacer du regard. Il soupira:
-Disons que ça passe pour ce midi Holmes, mais j'irais vérifier si tu as vraiment ta "dérogation". Et n'abuse pas trop sur les beignets, ce n'est pas bon pour toi.
Il s'éloigna et alla embêter un groupe de Serdaigle qui s'approchait, sous le regard noir de Livie. Elle allait devoir se procurer une dérogation. Au même moment, les Gryffondors commençaient à sortir de table.

Dernière modification par lucimaru (2016-03-17 16:19:27)

Loki se tenait à carreau et attendait de pouvoir manger. Eh le nouveau squad de surveillance lui plaisait encore moins que l'ancien. Puis ce type là, Brett ? Loki n'arrivait pas à retenir son nom... Insupportable. Quart d'heure de gloire, n'importe quoi. Le blond lança un regard en coin à toute la troupe. Ils étaient quand même bruyants... Puis venir critiquer le physique,tout de suite...
Bref. Les Gryffondors s'en allaient ! L'heure de manger,enfin. Il ne remarqua même pas le Flavien national passer, le Serpentard voulait plutot se la jouer safe et s'éloigner des trois filles avant même de pouvoir se faire remarquer mais Erin l'intrigua : on essayait de lui dire des trucs ? Oh, des ragots- La tentation était trop forte.
Il restait pas trop loin, faisant mine d'être préoccupé par la nourriture.

Erin sembla dubitative un instant, à vrai dire que Flavien l'ignore à répétition l'épuisait tellement tout en lui influant une dose quotidienne de stress supplémentaire l'empêchait de se concentrer sur autre chose que l'état fragile de leur relation. Alors, qu'il soit angoissé par le lancement d'un sort, cela lui passait au-dessus ; à ses yeux, le plus important était qu'il comprenne qu'il n'était pas seul.
-Il a subi un traumatisme, répondit-elle en se servant un verre d'eau. Donc il est traumatisé. Et comme toutes les personnes traumatisées, il mettra du temps à s'en remettre, et à utiliser la magie. Mais il y arrivera, c'est dans sa nature d'être le meilleur à tout, de franchir ses propres limites. Je n'ai pas peur de ça, dit-elle avant de boire d'une traite le verre qu'elle venait de se servir.
A vrai dire elle n'avait répondu qu'avec un faux ton de conviction, car après tout, elle n'essayait que de se persuader elle-même que oui, il fallait simplement du temps ; du temps et tout serait revenu à la norme, évidement. Du temps, et elle se mettrait enfin debout ; Charlie ne pâlirait plus à la moindre évocation de traumatisme, et Flavien lancerait à nouveau les meilleurs sorts de l'école, ajoutant chaque semaine son lot de point aux Gryffondors.
Quelle illusion, soufflait une voix au fond d'elle ; mais elle n'avait que cette pensée à laquelle se raccrocher pour oublier l'abandon qu'elle subissait, alors cette voix était vite étouffer par les pensées pseudo-rationnelles qu'elle nourrissait à coups de réflexions dans le fond logiques.
-Tu le connais, il s'en remettra... Donne-lui juste du temps.
Puis elle servit copieusement son assiette, et se mit à manger avidement car tant que sa bouche était pleine, elle n'avait pas à justifier le comportement anormal de son petit-ami.
Charlie jeta un œil à Livie (elle ne s'était même pas aperçue d'avoir vexé son amie) en haussant des épaules, il était évident que la Serpentard n'allait pas admettre la vérité d'aussitôt.
-Je peux aller lui parler, sinon, proposa-t-elle alors entre deux bouchées de lasagne (ses propres hanches étaient certes larges mais elle était loin de se soucier de son poids) ; je veux dire, peut-être qu'il a seulement besoin de... Disons, de partager ce qu'il pense.
Et dans un sens elle était la mieux placer pour lui servir de confessionnal ; mais Erin secoua obstinément la tête.
-Non, non c'est à moi qu'il doit parler.
Et elle avait été si catégorique que Charlie n'ajouta rien, sauf une deuxième ration de pâtes.

Alexander rejeta le bras de Bart d'un geste agacé ; sa soeur avait raison, il n'avait pas à le laisser jouer plus longtemps sous prétexte de l'intimidation, surtout pour lui faire dire exactement ce qu'il voulait entendre.
Mais il restait un problème : il avait raison.
Aussi se sépara-t-il du chef de la brigade, mais ne put s’empêcher d'acquiescer dans un soupir de résignation.
-Sûrement, oui.
Et c'était la triste réalité : Flavien, qu'il avait bien connu avant la tournure désastreuse des évènements, était du genre à défendre son propre honneur et avant tout sa réputation, et si on lui baffait sa dignité, il n'aurait pas hésité à répliquer à la hauteur de l'injure. Mais voilà, Flavien était, littéralement, déchu ; il était affaibli, et pas besoin de cette démonstration pour s'en apercevoir, il avait le visage éteint et ça, même Alexander l'avait remarqué depuis son retour au château. Somme toute Flavien n'était plus ; il ne restait qu'une pâle copie physique de lui, lessivée, passive, humiliée. Et ça lui faisait de la peine de l'admettre car si son rêve était depuis longtemps de le voir rejoindre cet état de fantôme écrasé, maintenant qu'il lui avait sauvé la vie, maintenant qu'il lui devait ses jours, il se sentait comme peiné, ou, surtout, plein de compassion. Il avait sous les yeux la réplique de ce qu'il était avant de l'avoir rencontré. Le renversement de leur rôles était par ailleurs flagrant : Flavien était sujet aux rires et aux regards de travers et lui, sujet d'une admiration qu'il ne comprenait pas : qu'y avait-il de glorieux à avoir été molesté par des mages noirs ?
-Mais Stuart, rappelle-moi une chose, à quand remonte la dernière fois que tu as sauvé une vingtaine de personnes, en risquant ta propre mort ?
Alexander tourna sa tête, comme les autres spectateurs de la scène, vers celui qui venait de prendre la parole, et haussa un sourcil de faux étonnement ; Leo, quelle évidence, toujours là pour la justice. Pourtant, il était loin de la carrure des héros de l'antiquité ; oh certes il était grand mais maigre, sa largeur d'épaules était notable mais pas inquiétante. Mais il avait toujours été le premier à relever les remarques intolérables ou les critiques illégitimes, ce qui lui avait valu aussi bien de nombreux ennemis que de fidèles alliés, ou des retenus qui, selon la légende, s'estimaient, mises bout à bout, à trois mois de nuits blanches. Au vu de la situation, il allait pouvoir en ajouter une supplémentaire.
-Et, rappelle-moi encore, où étais-tu quand les mangemorts nous ont attaqués, quand ils l'ont torturé ? Ah, oui, caché sous la table.
Il arracha quelques sourires puis défia de ses yeux vairons le chef de la brigade, avec toute la moquerie que la bravoure de sa maison lui permettait :
-Entre nous, maintenant, je me demande qui est la vraie loque dans cette histoire.



Voici la fiche de mon nouveau bébé ; je me suis permise une histoire un peu plus palpitante que celle des autres, en espérant que ça ne fasse pas trop :

Pseudo: Katara
Nom: Allen Cuffe
Prénom:  Leonard (Leo)
Age: 16 ans
Caractère: Soyons honnêtes : le caractère de Leonard, qui se reflète dans sa simple volonté d’être appelé Leo, a très clairement été forgé par sa vie, disons relativement chamboulée. Il a puisé un courage remarquable de sa vie moldue ; une qualité d’adaptation exceptionnelle (il ne se plaint pour ainsi dire jamais) ainsi qu’un profond dégoût de l’injustice qui lui vaut une honnêteté déconcertante. Bien sûr, il a complété ce panel de valeurs  remarquables par une série de défauts qui le rendent tel qu’il est, à savoir détesté par certains ou plutôt par tous sauf sa poignée d’amis qui le supportent envers et contre tout : Leo est l’incarnation de la susceptibilité, il a donc la très fâcheuse tendance à ne supporter aucune remarque négative, il ignore également le second degré ou l’humour en général et s’isole le temps de digérer un commentaire qui lui serait resté en travers de la gorge. Quant à sa belle honnêteté vertueuse, elle a avant tout eu tendance à renforcer une impulsivité aussi bien morale que physique ; et si la légende raconte effectivement qu’il a reçu trois mois de nuits blanches consécutives de retenu pour avoir pris la parole en cours sans aucune diplomatie, on oublie souvent le sang-chaud qui circule dans ses veines et les quelques rixes dans lesquelles il a été impliqué par manque de contrôle de soi. Non pas qu’il ait un corps qui le lui permette ; il a seulement un cerveau étranger au calme, à la tranquillité, d’où une certaine hostilité envers les Serdaigles dont le mode de vie est complètement barbare au sien. Il est en outre une pile électrique incapable de rester assis à ne rien faire, il est dernier de sa classe et a frôlé à deux reprises un redoublement (mais enfin il n’y peut rien s’il est incapable de se concentrer) mais tout cela semble secondaire, car en résumé le pilier de son comportement se concentre en quelques traits typiques : téméraire (pour ne pas dire casse-cou), sincère, amical, susceptible à l’extrême, colérique et aussi énergique qu’une vitamine (et cela porte à confusion, fut un temps où circulait une rumeur selon laquelle il prendrait régulièrement de potions pour parvenir à cet état d’énergie inépuisable).
Maison: Gryffondor
Lien de famille avec autre personnage: //
Baguette (bois, constituant, longueur): Cyprès, crin de sombral, trente-trois centimètres et demi.
Matière choisis si passé la troisième année (Les matières qui ne sont pas en gras): Soin aux créatures magiques
Matière choisis si passé la sixième année: Botanique, vol à balais, soin aux créatures magiques, potion, métamorphose (se destine à devenir magizoologiste).
Membre d'un club ? (répondre par oui ou non, préciser lequel+poste) :Gardien de l’équipe de Quidditch.
Histoire: Et c’est ici que tout se complique.
Son histoire, on ne sait pas très bien par où, ou comment elle commence ; notamment parce que le jeune Gryffondor est ancré dans un déni qui le porte à sceller ses lèvres sur son passé. Ils sont tout au plus trois à connaître cette histoire : ses parents et lui ; et moi, petit narrateur, évidement, sans quoi cette introduction serait inutile.
Leonard est né d’une relation secrète entre une artiste moldu, Helena Allen et l’éditeur de la célèbre Gazette du Sorcier, Barnabas Cuffe. Car si cet étonnant couple a survécu aux rumeurs qui circulaient, il explosa sous le scandale provoqué par la naissance de ce fils au sang-mêlé né hors-mariage d’une liaison amoureuse impliquant le grand éditeur.
Alors, lâchement me direz-vous, mais plutôt pour sauver le restant de sa dignité humiliée par les insultes auxquelles on le soumettait, Barnabas fuit, et abandonna sa toute récente famille (Leonard n’avait que deux mois) pour retourner  vaquer à ce qu’il savait faire de mieux : imprimer.
Helena, anéantie par le départ de celui qu’elle croyait être l’amour de sa vie, avait deux réactions possibles : ou aimer son fils telle une bouée de sauvetage en pleine mer, ou le mépriser car fruit d’un amour infructueux. Elle choisit la seconde option et devint littéralement folle de colère ; car elle avait beau peindre du matin au soir pour évacuer la rancune qu’elle ressentait, lorsqu’elle rentrait de son atelier et qu’elle voyait son fils aux traits si semblables à son père, sa frustration remontait et jamais elle ne put lui montrer un signe d’affection.  Elle perdit la raison à force de s’enfermer devant ses toiles et de rejeter celui qu’elle avait enfantée ; désespérée de quitter cet état d’ire permanente, elle fit une tentative de suicide qui fut vouée à l’échec, mais qui lui offrit un accès direct à l’hôpital psychiatrique de la capitale britannique, alors que Leonard n’avait que six ans.
Cette histoire eut des répercussions jusque dans le monde des sorciers ; car moldu ou mage l’orphelinat d’un enfant (car la malheureuse n’avait pas de famille) reste un fait effroyable. Aussi Barnabas eut-il à imprimer cette nouvelle sur la Gazette ; et il comprit, oui, il se souvint qu’Helena avait tenu à appeler leur fils Leonard en hommage à son peintre préféré, et que toutes les Helena n’appelaient par leur fils Leonard.
Il s’immisça au cœur du système juridique moldu et récupéra l’enfant qu’il adopta  puis qu’il introduisit au sein de la parfaite famille sorcière qu’il avait construite pour ne plus jamais faire parler de lui ; et Leonard se retrouva en compagnie d’un frère de deux ans son cadet, d’une belle-mère aimante et d’un père qui désirait plus que tout rattraper le temps perdu et lui faire oublier la folie de sa mère qu’il avait vécue au jour le jour pendant de nombreuses années.
Leonard ne manqua de rien, ni de jouet ni d’amour, encore moins de renommée, cette renommée qu’il essaie pourtant d’étouffer : il refuse qu’on le désigne comme étant l’enfant adopté mystérieusement par Cuffe, il veut être sa propre identité à part entière et c’est la raison même de la naissance de son caractère aussi vif. Cette historie explique également sa passion pour le sport qui reste pour certains très étrange : mais si Leonard court nage et vole sans jamais être capable de se poser, c’est également parce qu’il a appris qu’en gardant les pieds cloués au sol, on en perd parfois la raison, et plus que tout au monde il refuse de devenir comme sa mère, cette femme fragile et faible, elle-même clouée au sol.
Leo est donc dans la situation suivante : il n’évoque jamais sa mère (au point que tous ses proches la pensent morte, même le Gryffondor essaie de s’en convaincre), et essaie continuellement de se détacher de la figure paternelle envers qui il ressent aussi bien de la reconnaissance qu’un sentiment permanent d’injustice (et à nouveau, on y retrouve son caractère). Seul son petit frère, Evan, qui ignore lui aussi tout de l’existence de sa mère, constitue un soutien pour Leo : car les deux jeunes gens ont développé l’un pour l’autre une véritable sympathie et douceur fraternelle. Rien d’étonnant quand on sait qu’Evan est entré à Poufsouffle.
Description: J’ai dit sportif oui, hyperactif et sang-chaud ; et pourtant Leonard ne porte pas sur son corps ces aspects de son comportement. Il est grand, certes, un bon mètre quatre-vingt, il a des épaules plutôt larges et une mâchoire carrée, mais il est fin, en réalité sa carrure est telle que l’absence de ses muscles semble presque frappante. Il a une peau plutôt claire, des lèvres étirées de la même couleur et un beau nez droit que personne ne remarque jamais, ses yeux attirant toute l’attention.  Effectivement, ce qui frappe avant tout aussi bien les inconnus qu’il croise que ses amis qu’il connaît depuis cinq ans ce sont ses yeux vairons. Si son œil droit est d’un bleu azur lisse et net, son œil gauche est noisette, d’un marron clair aux reflets de miel en cas de beau temps estival. Ses yeux, il les déteste ; car sa mère avait ce même bleu profond, et il a ainsi le sentiment qu’elle fait partie intégrante de lui malgré son désir de l’effacer de ses souvenirs. Ses cheveux pour leur part restent assez conventionnels car bruns (ou châtains foncés pour ceux qui aiment chipoter sur la nuance), coupés de telle sorte que les côtés sont très courts par rapport à la masse centrale en bataille qui domine son crâne ; et si vous lui posez la question, il vous dira qu’il s’est coupé les cheveux suite à un pari, afin de cacher la réalité de la chose : il voulait seulement qu’on le distingue par autre chose que ses iris ; renforcée par de longs cils qui les mettent en valeur.

Dernière modification par kataraestelle (2016-03-28 23:49:47)

(T'as passé le CAPES c'est ça ? Comment tu l'as senti (même si je sais que c'est typiquement le genre de questions auquel il est difficile de répondre) ??
Oui à vrai dire je le vois vraiment bien s'entendre avec Vector et Charlie qui serait fascinée par sa franchise vu qu'elle est elle-même très honnête ! Au passage, je me demandais vu que t'as fait bio, est-ce que tu connais l'explication génétique des yeux vairons ? parce que du coup j'ai fait des recherches pour Leo mais j'ai rien trouvé de concret :p)

Leo avait déjà sorti sa baguette quand Bart lui avait tourné le dos. Sa langue avait effleuré ses dents pour prononcer le premier sortilège qui lui serait passé par la tête, mais il hésita entre un crache-limace et un stupefix et c'est durant ce très cours laps de temps qu'Hectorine avait pris la parole pour excuser le comportement de son frère. Somme toute, elle venait de sauver le peu de dignité que pouvait encore avoir Bart, car vomir des limaces devant toute la brigade l'aurait empêché de fanfaronner plus longtemps. Et Leo aurait passé toutes les nuits blanches du monde à nettoyer les toilettes des Gryffondors plutôt que de rater ce moment.
Il rangea sa baguette dans un soupir contenu puis dévisagea la rousse qui avait permis au Serdaigle d'éviter le pire.
-Je ne nargue pas, je constate. Stuart a été lâche, et je vais te dire pourquoi : même si Flavien n'avait pas comme intention première de sauver les nés-moldus, il est parti à la recherche de ses camarades. Il les a pas laissés tomber. Et crois-moi que ton Bart, là, il serait pas capable du dixième pour son équipe, et quand bien même il le ferait, JAMAIS Flavien ne s'amuserait à le ridiculiser. Le respect se perd, c'est regrettable. Et je me demande qui est le plus idiot ; celui qui défend ses amis ou celui qui manque de respect ! conclut-il en haussant le ton et en fixant le dos de Bart, essayant de compenser le sort qu'il n'avait pas lancé par un regard meurtrier.

-Il est gay ? supposa Charlie en mordant dans une pomme qui dissimula son sourire ironique.
Erin secoua la tête et comme une mèche capricieuse se posait sur son oeil elle attacha sa chevelure d'un geste rapide en ce qui se devait d'être un chignon mais qui ressemblait davantage à une choucroute.
-Non, j'en doute et maintenant si ça te dérange pas, tu me raconteras la prochaine fois, là, je suis pressée.
Elle quitta vivement la grande salle comme si soudain elle avait pris conscience qu'elle avait oublié une chose très importante ; en réalité, elle avait été brusquée par les paroles de Livie au sujet de Flavien en dépit de la nonchalance qu'elle avait simulée et désormais il lui tardait de discuter avec lui pour mettre les choses au clair.
Charlie la regarda s'en aller en soupirant.
-On peut même plus rigoler... et donc, quel est le secret de notre cher Loki ?

(je te recopie pour la mise en forme c'est carrément plus clair)

Dernière modification par kataraestelle (2016-04-03 22:27:46)

(Baaas... C'était pas dur, genre vraiment pas, du coup j'me dis que la sélection va se faire sur les détails, et j'ai pas été assez précise sur mes copies... Doooonc bon.. On verra. J'espère que les autres étaient nuls. Pour les yeux Vairons je pense qu'à l'heure actuelle on ne sait pas trop :'D On a pas encore identifié l'entièreté de la chaîne de gènes qui donnent la couleur des yeux (c'est déjà assez complexe en fait :'D). Il y a des hypothèse, soit chaque oeil a une chaîne de gène différente, soit il y a un soucis de mélanine au niveau d'un des gènes.)


Hectorine parut choquée par ce que venait de dire Léo. Son frère l'avait protéger, et elle devait surement être sa seule amie, malgré le différent qui les opposait.
-Je pense qu'on ne devrait pas glorifier Flavien. Il ne le mérite pas. S'il avait prévenu les aurors avant, s'ils leur avait donné toute ses pistes, il n'y aurait pas eu de mort ce jour là. Bart n'est pas inconscient. S'il arrivait quelque chose à l'équipe, il ne partirait pas tout seul à leur recherche, il préviendrait le ministère à temps ! Je pense qu'il fera un meilleurs chef, que tu le veuilles ou non. On ne commande pas avec des sentiments, mais avec du pragmatisme.
Elle croisa les bras avec une moue outrée.

Livie éclata de rire à la remarque de Charlie et vit Erin se lever. Elle soupira:
-Bonne chance.
Elle savait très bien qu'elle allait voir Flavien, et surement s'arracher une bonne dizaine de touffe de cheveux.
Un sourire malicieux se dessina sur son visage en voyant Loki se penchait encore plus. C'était l'heure du bobard. Ou presque. De la théorie.
-Tu sais, j'étais inconsciente moi pendant tous les événements, je ne me suis réveillée qu'une fois à sainte Mangouste. Et c'est comme si j'étais toute neuve. Alors j'ai posé des questions à tout le monde pour savoir ce qu'il s'est passé, et seul Loki a présenté porte close et a refusé de parler à qui que se soit... J'ai même vu des médecins murmurer dans un coin à son sujet...
Jusque là, tout était vrai. La théorie venait après:
-Parmis les mangemorts qui ont attaqué là bas, il y avait un loup garou, Buster. Et, l'un des né moldu m'a affirmé qu'il faisait encore jour quand les aurors sont arrivés et les ont maîtrisés. Sauf que voilà, c'était bien la nuit de pleine Lune, et Buster a été transporté par les mêmes aurors que ceux qui ont transportés Loki. Pendant le chemin. Je pense qu'il s'est transformé et a mordu Loki. Du coup c'est un loup garou, et il ne veut plus approcher personnes !
Livie n'était pas à sa première théorie du genre, pour elle Stuart était un vampire et sa soeur un sang mélé humain et elfe de maison. Tout était faux, mais ça faisait bien rire tout le monde. Loki le loup garou n'était qu'un nouvel épisode des théories farfelues de la Poufsouffle.

Loki retenait sa respiration. Qu'est-ce qu'elle avait bien pu inventé, sérieusement ?
Il ne s'était pas imaginé qu'elle aurait ennuyé tout Sainte Mangouste avec ses question... Et il aurait dû s'en douter, les gens allaient dire qu'il refusait de parler, et en discuter, et en élaborer des théories. Le Serpentard fit une légère moue. La prochaine fois, autant mentir.
Mais elle avait bien fait son enquête ! Il n'imaginait pas qu'elle serait au courant pour le loup garou ! Il en profita pour un peu manger, les écoutant toujours relativement discrètement, avant de s'étouffer avec sa propre nourriture à la conclusion de Livie.
Le Serpentard eut du mal à faire passer la nourriture et à reprendre son souffle. Bon, il n'était plus du tout discret, mais bon... Jeez. Le blond baissa légèrement la tête. L'attaque du loup-garou l'avait pas mal refroidi niveau héroïsme, c'était sûr.
Et voilà que Charlie s'en mêlait maintenant... Il fixait son assiette, mais fut bien obligé de lever les yeux vers elle quand elle lui posa directement une question. Elle trouvait ça drôle ? C'était flippant, ces monstres !
- Tu veux la voir ? Viens la chercher.
Il n'allait pas la laisser faire si jamais cette remarque ne la dégoutait pas assez. Mais bref. Il soupira et baissa les yeux sur son assiette, poussant la nourriture avec sa fourchette.
- Plus mal que tu ne pourrais l'imaginer.
Non, il ne niait rien. Mais il savait bien que quoiqu'il dise, elles continueraient de croire en cette théorie. Cependant, il avait préparé ses arguments- Loki releva les yeux vers Livie et Charlie.
- Si j'étais avec des Aurors, ils l'auraient arrêté à temps non ?
N'empêche, il parlait de nouveau à des gens- Cela lui faisait un peu bizarre, mais il n'était pas mécontent.

Qu'est-ce que- Ah, elle se rapprochait. Le Serpentard fit une légère moue et essaya de se reculer un peu, histoire de garder un peu d'espace vital. Puis jeez, pas trop de contacts humains d'un coup ! Il s'était isolé, et maintenant, on viendrait l'agresser, comme ça ?
Il continua de manger en essayant d'un peu l'ignorer, mais il l'écoutait quand même. Eh ben... Il n'aurait jamais imaginé qu'elle passe autant de temps à penser à lui. Le blond essaya de se souvenir de cette journée, mais les détails lui échappaient maintenant. Alors il se contenta d'imaginer la scène au fur et à mesure qu'elle avançait dans sa théorie farfelue.
Le Serpentard sentit quelque chose sur son épaule et sursauta, se tournant vers Livie et constatant que ce n'était qu'elle. Il se calma immédiatement et arqua un sourcil. Son dos ? Loki grimaça légèrement. Il soupira quand elle se préoccupa un peu de Charlie et poussa son assiette. Qu'est-ce qu'elles pouvaient être agaçantes...
- Mouais. Je m'attendais à mieux venant de toi.
Comment s'en sortir, pour qu'elles s'arrêtent d'imaginer cela ? Oh, il avait une idée ! Il se tourna vers Livie, un grand sourire aux lèvres.
- Mais je suis flatté ! Je n'aurais jamais imaginé que tu fasses une enquête sur moi, ni même que tu passes ton temps libre à imaginer ce que j'ai bien pu faire quand tu n'es pas là ! Puis te chercher des excuses juste pour pouvoir poser la main sur moi... C'est... Spécial. Mais adorable.

(Profite bien  :D)

Flavien parut ravis qu'elle accepte et se leva, poussant tranquillement son fauteuil roulant.
Cependant son sourire s'effaça quand elle fit allusion aux rumeur le concernant. Il s'avait très bien de quoi elle voulait parler. Elle savait que Livie avait du lui raconter, qu'elle avait du avoir vent de son altercation avec Batholeme. Il força cependant un rire :
-Ah oui  ? Quoi encore  ? La dernière fois c'était que ma mère n'était pas une moldue mais une Vélane, ou encore que j'avais reussi à marquer 37 buts d'affilé à mon premier match de Quidditch, alors que je n'etais qu'en deuxième année. C'est flatteur, mais tout est toujours faux, t'en fais pas.
Il n'avait pas envie de l'inquiéter avec ses introspections profondes.

Hecky fit la moue, et se tourna vers Alexander qui n'avait pas dit un mot depuis tout à l'heure. Il devait être d'accord avec Leo, ou perturbé par les manoeuvres de Bart :
-Tu le connaissais ce type  ?

Vector avait assisté à la scène et courrut vers Leo. Elle n'avait jamais été pour que Flavien fasse partie de la brigade. Mais là, il en allait de son honneur, elle ne pouvait pas laisser Batholeme Stuart marcher sur le grand Flavien Herim :
-Hé  ! Leo.
En temps que capitaine de l'equipe de Quidditch, elle connaissait tous ses joueurs, même s'ils ne jouaient plus :
-On devrait mobiliser les gens. Tout le monde déteste Stuart, si on est assez nombreux à se manifester contre lui, ils rendront son titre à Flav non ?

Livie parut d'abord surprise, elle le fut encore plus par la réponse de Charlie et éclata de rire.
Loki tentait désespérément de changer de sujet. Pour la première fois de sa vie, une de ses hypothèses avait peut-être du vrai. Le loup avait du se transformer, mais de là à mordre Loki. Elle meme n'y croyait pas vraiment. Du moins...
-Tu affabules un peu Charlie. Je l'ai pas fais si souvent que ça.
Pour deux personnes. Et ça n'avait jamais été de vrais recherches. Juste des théories foireuses. Vector la descendante elfe de maison et Stuart le vampire. C'etait toujours dand le but de lancer des rumeurs contre eux. Le cas de Loki avait été un peu différent. Elle avait voulu savoir pourquoi il avait refuser de leur parler. Elle aurait voulu s'excuser pour l'avoir embarqué là dedans, il s'était contenté de présenter porte close.
-Mais tu m'as démasqué ! J'ai inventé tout ça rien que pour pouvoir te tripoter un peu. Si tu me laissais te masser, ce serait encore plus adorable, et beaucoup moins bizarre ! En plus tu adorerais mes massages. Evidemment sans ton uniforme, parce que l'huile ca tâche.
Il pouvait se le mettre où elle le pensait le massage. Elle commençait elle même à douter de sa théorie et voulait voir s'il restait des traces de morsures. Un mois après.

Dernière modification par lucimaru (2016-04-09 15:33:06)

Livie lança un regard amusé à Charlie. Oui, pour s'être bien trouvé, ça avait été un véritable coup de foudre amical. Ce genre de personnes pour laquelle on se dit tout de suite "Ce sera mon ami".
Loki espérait vraiment qu'elle abandonnne si facilement sa theorie, c'était mal connaître Livie Holmes, qui n'avait pour le coup jamais aussi bien porté son nom.
Elle se pencha vers Loki :
-Boude pas. On plaisantait tu sais  ? On sait bien que tu ne PEUX PAS être un loup garou. Tu n'aurais pas été autorisé à revenir à l'école.
Sauf si le nouveau prof de potion, ce type ultra canon et pas si vieux (voir pas vieux du tout) assit à la table des professeurs. Le genre de garçon parfait pour Charlie. Il valait mieux un garçon d'au moins cinq ans de plus pour Charlie, elle etait trop mature pour les gars de leur âge. Et si elle en voulait pas, Livie se chargerait du recuclage.. Bref, sauf si le prof de potion, cet apollon, pouvait faire la potion tue loup.
Livie était presque sûre, en partie à cause des réactions mitigés de Loki, qu'il cachait quelque chose. Loup garou ou autre.
-Et puis... Personne n'embauche de loup garou dans aucun travail. Si c'etait vraiment ton cas, tu passerais ta vie rejeté de tous... C'est pas le genre de choses dons on devrait rire. Excuse nous.
Le soucis, c'est qu'il ne fallait pas qu'il les déteste si elle voulait trouver d'autres indices, et qu'il reste dans les parages. Elle se rapprocha de lui et se pencha pour chuchoter :
-Et le massage est toujours d'actualité, tout habillé si tu es pudique.
-HOLMES ET SA BANDE  ! Vous sortez !  C'est aux Serdaigle de manger.
Comment ignorer la douce voix de Bartholeme. Elle se leva et fit signe à Charlie de venir. Elle n'avait pas remarqué qu'ils étaient encore les derniers à tables.

Dernière modification par lucimaru (2016-04-12 21:14:12)

Livie eut un air amusé sur le visage. Il acceptait, ses excuses et le massage, sans opposer aucune résistance. Loki lui sembla d'un coup être une figure d'innocence. Elle allait devoir se battre contre elle même pour ne pas en profiter.
Ceci dit, c'était parfait, sa théorie était toujours en attente d'une vérification.
Elle se tourna vers Loki et lui fit un sourire ravis, histoire de le convaincre de la bonté indiscutable de son geste.
-On devrait trouver un coin tranquille dans ce cas. Où on pourrait s'asseoire. Charlie, tu pourras m'apporter mon livre de potion pour le cours d'après ? Il est sur mon lit.
C'est que Charlie était géniale, mais parfois trop direct et risquerait de faire capoter son enquête. En plus Livie était sur deux fronts en même temps :
-Hésite pas à lire mes notes. Je suis sûre que le prof va nous interroger dessus... Et ce serait bien qu'il ait une bonne image de toi.
Cette dernière affirmation etait accompagné d'un air entendu. Evidemment que Charlie connaissait les plans que lui vouait Livie.

Livie acquiesça et prit la direction de l'entrée. Personnes n'y traînait plus vu qu'il était interdit de sortir du château.
Elle s'assit sur un des bancs et attendit que Loki la rejoigne, de détaillant de haut en bas.
Il était mignon. Mais bien trop jeune.
Il avait seulement quinze ans, et Livie dix sept. Sans compter qu'elle avait tendance à sortir avec des garçons plus âgés qu'elle. En plus de ça, il était naïf. Non, décidément, il était mignon, mais c'est tout, le reste n'allait pas vraiment dans son sens le pauvre. Il allait se faire des idées. Tant pis, Livie n'avait rien de mieux à faire pour le moment que de s'amuser avec une ou deux hypothèses, autant se distraire.
-Au fait. Je voulais m'excuser, et te remercier. Pour... Tu sais ? Quand on est allé chercher Charlie.