Enjeru.
Il fut redescendu sur terre et pu arrêter de s'étrangler lui-même comme Kenji n'avait plus de concentration, trop occupé à se satisfaire lui-même avec sa main.
"Serait-on impatiente ?" la nargua-t-il légèrement avec un sourire un peu amusé.
Il jeta un oeil au frère et fit quelques pas dans sa direction.
-Je n'ai rien fait à ta soeur, affirma-t-il. Seulement, contrairement à toi, elle sait repérer un bon coup !
Il échappa un petit ricanement et revint auprès de la jeune femme qui venait très clairement de mettre les points sur les I. Il sourit et fit glisser ses mains sur les hanches de la vampire, l'attirant à lui.
-Tu es totalement libre de tes mouvements, lui répondit-il à voix haute. Mais je crains fort de ne pas avoir fini de m'amuser avec ton si délicieux frangin.
Il regarda ce dernier.
-Si tu veux que j'arrêtes, tu n'as qu'à le souhaiter à voix haute et accepter de prendre sa place, lui dit-il simplement en faisant référence à son troisième et dernier pouvoir qu'il possédait, celui sur les marques et les vœux.
Les gens faisaient des voeux, il les exauçait mais, en échange, il apposait sa marque sur eux et ils lui devaient une obéissance absolue.
-Mais comme que tu acceptes ce marcher m'étonnerait, je vais simplement prendre beaucoup de plaisir avec cette charmante demoiselle.
Il obligea Kenji, grâce à Volonté, à tourner la tête dans leur direction alors qu'il montait une main sur la poitrine de la jeune fille.

Enjeru.
"Me sous-estimerais-tu une nouvelle fois ?" lui répliqua-t-il avec un petit sourire amusé, la paume de sa main rampant sur sa poitrine volumineuse et se rendant tout doucement jusqu'à sous con chandail pour dégrafer son soutient-gorge.
-Il n'en est pas question, répliqua Enjeru à Kenji, plutôt calmement tout en aidant la jeune femme à retirer son haut.
C'était marrant. Kenshi ne voulait pas qu'il touche à son frère et Kenji ne voulait pas qu'il touche à sa soeur alors que cette dernière le voulait. C'était ce que l'on appelait une sorte de triangle amoureux tordu et pas vraiment amoureux...
-Parce qu'il m'a tapé dans l'oeil le premier, répondit-il simplement, mais, pour l'instant, je profite de ta superbe personne alors oublions-le pour l'instant, veux-tu ?
Enfin, oublions-le jusqu'à ce qu'il leur hurle dessus. Ce à quoi Enjeru rétorqua méchamment parce qu'il s'amusait à blesser la confiance qu'avait Kenji envers sa soeur :
-La gamine semble avoir plus d'expérience que tu ne le crois ! Donc, non, je ne m'arrêterai pas. Si tu le veux, tu sais quoi faire.
Il sourit et scella ses lèvres à celle de la vampire, enroulant sa langue autour de la sienne, fougueusement.
"Mais j'y compte bien, ne t'inquiète pas."
Il ignora royalement l'herbe qui commençait à pourrir toute autour de Kenji.

Enjeru.
"C'est parce que parler est la plus belle façon de s'exprimer mais..." Il leva les bras pour lui permettre de retirer son veston et son chandail avec plus de facilité, "Peut-être pas la plus efficace, j'en conviens," termina-t-il avec un petit sourire.
Comme le pouvoir de Kenshi annulait les effets néfastes de celui de son frère, Enjeru ne l'avait pas vraiment remarqué, il ne se sentait pas du tout plus faible, frêle ou plus vieux. Alors il ne s'en inquiéta nullement.
-Certes, mais je l'ai sentie avant, répliqua-t-il avec un sourire amusé.
Il jeta un très bref regard à Kenji, juste suffisamment long pour avoir le temps de lui jeter un petit :
-Je crois qu'elle est assez vieille pour faire ses propres choix.
Il revint ensuite à ses activités lucratives, laissant la jeune fille lui caresser les abdos et suivre le tracé de ses muscles jusqu'au grand V qui conduisait dans ses pantalons. Enjeru trouvait la situation amusante, il semblerait que la jumelle soit plus excitée en sachant que son frère la regardait - sale petit voyeur ! - et que cela lui permettait, pour la première fois, de s'affirmer, comme pour signaler à son frangin "Hey, je ne suis plus une enfant, regarde ça !". Enfin, il n'en savait pas grand chose puisqu'il les connaissait depuis très peu mais ça lui avait tout l'air de ça !
-Moi aussi, grogna-t-il, les lèvres collées sur le cou de la jeune femme, chatouillant sa peau de ses crocs aiguisés.

[C'est pas grave, Transpa, je crois qu'on a toutes été un peu prise par la rentrée des cours ^o^ Repose-toi et prend le temps qu'il te faudra ! <3 ]

Enjeru.
"J'aime contrôler, dominer et toucher les autres donc tu seras comblée, très chère," lui répondit-il en déposant une myriade de baisers de ses lèvres jusqu'à son épaule.
Terminant de la chatouiller avec ses crocs, il perça doucement sa peau et savoura les minces gouttelettes de sang qui tombèrent sur sa langue.
-Hum... Aussi délicieuse que son apparence le laissait présager, la complimenta-t-il d'une voix rauque.
Puis, léchant la plaie pour en refermer les deux petits trous, il releva ses yeux caché par les verre fumé sur elle.
-Son odeur est boisée, puissante, elle respire la force et le mystère. Ton odeur est plus douce, parfumée, subtile et fleurie. Toute aussi appétissante.
Le reste n'était qu'une question de goût et d'amusement personnel. Il savourait la situation. D'ailleurs, le vampire continuait de s'énerver et Enjeru, pour cette fois, avait décidé de l'ignorer complètement, continuant d'embrasser sa soeur à pleine bouche, l'ignorant. À la place, il laissa Kenshi déchirer son pantalon et grogna en sentant ses mains se poser sur son point sensible et commencer à le masser par-dessus son boxer. Il agrippa les fesses de la jeune femme et, de sa main libre, entreprit de descendre son bas.
Ils avaient commencé à se tutoyer sans s'en rendre compte.

Enjeru.
Il plongea sa main entre sa petite culotte de dentelle et sa peau, tâtant et explorant alors que la jeune femme poursuivait son massage.
-J'espère bien que tu es plus, sinon, ça aurait été décevant pour une créature aussi jolie que celle que j'ai devant les yeux.
Si les jumeaux ne remarquait pas cette légère différence dans leur odeur c'était probablement parce qu'ils étaient habitués de la côtoyer 24 heures sur 24H, 365 jours par année, il ne voyait plus ou difficilement la différence minime qui existait.
"Si je deviens accro, je saurai où te trouver..."
Il sourit, joueur.
"Passons au plus important et, ensuite, peut-être pourrais-je invité la superbe demoiselle que tu es à venir souper chez-moi ?"
Il lui proposait gentiment, sans intentions cachées. Du moins, pas a priori. Peut-être que les mauvaises intentions lui viendraient plus tard.
Enjeru agrippa solidement les hanches de la jeune femme et lui souleva les jambes pour qu'elle puisse les mettre autour de sa taille. Ses muscles saillir sous l'effort mais il était un vampire donc trouverait vite un rythme confortable. Il fusionna avec elle en lâchant un grognement sourd.

Enjeru.
-Un avantage ou de la tricherie ? Je serai incapable de le dire... commenta-t-il avec un sourire mi-jour, mi-amusé.
Enjeru n'était pas Vlamidir. Si l'ex-ami de Miruko adorait s'envoyer en l'air pour ensuite jeter les demoiselle auxquelles il volait leur innocence, Enjeru agissait différemment. Il collectionnait les êtres humains depuis des années, maintenant. Il chérissait ses trouvailles comme des bibelots et ne se montrait violent que si on le provoquait chose qui arrivait de moins en moins souvent dans sa demeure. Enfin, chaque nouvelle pièce de sa collection était rebelle dans les jours suivant son arrivée mais il suffisait que de quelques semaines pour bien la dresser et la soumettre à l'autorité de la maison. Tout ça pour dire qu'il ne rajoutait pas des pièces de collection pour les utiliser qu'une fois et ensuite s'en débarrasser comme un déchet.
-Peut-être bien... !
Il lui fit un clin d'oeil et commença à se balancer contre elle, le désir montant en flèche.
-Faisons ça bien et vite et, ensuite, nous pourrons aller manger ou plutôt... boire chez-moi, je suis sûr que ma demeure te plaira !
Un grand manoir de style victorien. Qui n'aimait pas l'architecture victorienne ?
Il lâcha quelques grognements, accélérant le rythme pour se rendre plus vite au moment fatidique de leur union.

Enjeru.
-Mais avec plaisir.
Le jeune homme ne se faisait pas prier pour accepter ce que lui offrait la demoiselle et atteindre l'extase. Ils finirent néanmoins par atteindre le septième ciel et il échappa un grognement un peu plus fort, rauque et sourd que les autres. La respiration quelque peu haletante, il reposa la jeune femme sur le sol, lui enserrant doucement la taille et se retirant tranquillement, ne voulant pas la blesser.
-C'était bien, commenta-t-il.
Puis, comme se souvenant soudainement de la présence du frère, il jeta un regard dans sa direction pour le voir qui se fermait les yeux.
-Dommage, il n'aura pas assisté à tout le spectacle ! s'exclama-t-il avec une mine faussement déçu. Tant pis.
Il haussa les épaules avec une certaine nonchalance avant de récupérer son haut et de l'enfiler sur son torse musclé.
-Allons chez-moi, fit-il en renfilant ses boxers.
Ses pantalons étaient déchirés donc il ne les remit pas, de toute manière, il n'était pas pudique et son manoir était tout près. Il s'approcha de Kenshi et passa un bras autour de sa taille avant de claquer des doigts, obligeant Kenji à se lever pour les suivre lui et sa soeur.
-Je vais vous montrer le chemin.

Enjeru.
Le jeune homme eut un rire léger quand il prit conscience d'avoir donner un sacré coup à l'ego démesurément grand de sa partenaire du jour.
-D'accord, c'était extra, se reprit-il avec un sourire charismatique avant de ne commencer à la guider dans la forêt pour finir par déboucher sur un petit chemin tortueux en terre battue que l'on devait suivre pour se rendre à son manoir confortablement niché dans le creux des bois.
Il marcha durant quelques minutes avant de ne répondre à Kenshi, après mûre réflexion de la réponse qu'il allait donner.
"Je t'amènes chez-moi, tu comprendras bien vite mon passe-temps favori mais, ne t'inquiète pas, tu es mon invitée, rien ne t'arrivera," commença-t-il. "Quant à ton frère, tout dépend de lui. Je sais qu'il ne nous aurait pas suivit de son plein gré jusqu'à chez-moi alors je ne lui rendrai sa liberté que lorsque nous serons tous les trois bien assis dans les chaises de chêne de ma salle-à-manger.
Il ne mentait pas.

Enjeru.
-Je ne pensais pas avoir des leçons d'adjectifs et de vocabulaire de la part de quelqu'un qui pense que l'acte ne vaut pas la parole, commenta-t-il avec un sourire remplit d'amusement.
Pour lui, "Bien" ou "Extra" ça revenait au même. Il avait été satisfait. Que voulait-elle de plus ? Être la numéro un ? Eh bien, pour ça, il faudrait travailler un peu plus fort !
-"Séance de rattrapage" ? Hum... Peut-être pour plus tard.
Il n'y fermait pas la porte. La jeune femme avait été un bon coup.
Quant à Kenji, il se fichait un peu de l'état d'âme de ce dernier ou d'à quelle point il l'aimait, le détestait. Pour l'instant, ce n'était pas dans ses préoccupations. Le jeune homme pourrait aussi bien être entraîne de tuer des humains que cela ne le dérangerait pas. Il les suivait et point à la barre.
"Tu y es presque mais ce n'est pas tout à fait ça. Je ne tue pas les hommes et les femmes, ils ne sont pas tous nus et je ne bois leur sang que lorsque cela est nécessaire et sert à abréger ma soif," conclut-il.
Il ne savait pas qu'Angel était l'oncle des deux jumeaux mais entendre ce nom l'aurait sûrement fait froncer les sourcils. Enjeru avait le sentiment d'avoir manqué un bout de sa vie et quelques informations manquaient. Il n'aimait pas cette sensation.
"Je ne souhaite pas me faire aimer. Lorsqu'un roi est gentil avec ses sujets, ceux-ci croient qu'il va tout leur pardonner et d'adonnent à faire des choses qu'ils n'auraient jamais fait autrement. Je préfère contrôler par la peur. C'est plus efficace. Quant à son mutisme, je ne l'empêche pas de parler, c'est son choix."

Enjeru.
-Si j'accepte de te revoir et de t'inviter chez-moi, c'est probablement parce que tu as été parfaite, ne crois-tu pas ?
Il eut un bref sourire accompagné d'un petit haussement d'épaules.
"J'aime les humains. J'ai voyagé beaucoup pour trouver les plus beaux spécimens. Lorsque quelqu'un me plaît, j'aime bien me l'approprier, je suis quelqu'un de sensiblement égoïste et possessif. Je ne brutalise personne à moins qu'elle l'aille cherché personnellement," continua-t-il d'expliquer.
Devant eux, commençait à se dresser les jardins d'un magnifique manoir victorien qui semblait nicher au creux des arbres. Avec sa devanture de pierre, les roseraies qui montaient, les plantes grimpantes qui décoraient les murets et le devant de la demeure, les grandes fenêtres et ses balcons, le manoir avait vraiment quelque chose de féerique comme s'il avait poussé à même la roche.
"Chez-moi, personne n'est considéré comme "esclave" je préfère dire qu'il s'agit de pièce de ma collection," répliqua-t-il en poussant l'immense grille et se rendant jusqu'à la grande porte où sur les côtés se dressaient deux grands lions. Il la poussa et ils débarquèrent dans le hall d'entrée. À l'intérieur, tout était relativement calme à l'exception que ici et là des domestiques - pièces de collection - s'activaient à la tâche. Dans le grand couloir, sur chaque colonne soutenant le plafond, il y avait des corps humains bien vivant accrochés pour la décoration. Cela ne semblait déranger personne.
-Bienvenue chez-moi, annonça-t-il avec un ample mouvement de bras. Suivez-moi je vous prie.
Il allait les conduire dans la grande salle à manger.

[Je t'avais dis qu'il était un peu tordu comme Angel, cruel et pervers ! xD ]

Enjeru.
-Qui vous êtes ? Tout ce que je vois c'est deux personnes à l'allure magnifique. Il y a quelque chose que je devrais savoir pour améliorer ce souper au niveau de votre rang ? s'informa-t-il sans regarder derrière lui et continuant de marcher jusqu'à une grande salle de banquet.
Il força Kenji à prendre place à sa gauche et invita Kenshi à s'asseoir à sa droite alors qu'il s’assoyait au bout de la longue table qui aurait pu accueillir une vingtaine d'invités. Puis, comme il avait promit, il relâcha tout contrôle sur Kenji qu'il laissait finalement libre.
"Vampires, greenires, hunters, humains... Je les collectionne déjà tous, " affirma-t-il en haussant les épaules. "Mais je t'ai dis que tu étais mon invitée donc je ne t'ajouterai pas à ma collection, ne t'inquiète pas. La pire des choses qui pourrait t'arriver serait de partager mon lit avec moi cette nuit !"
Enjeru ne mentait pas, il n'avait pas l'intention d'ajouter Kenshi à sa collection. Il recherchait quelque chose de plus qu'une simple femme fatale. Certes, la compagnie de la vampire était agréable mais pas assez pour la mettre à sa collection. Cependant,  il serait ravi si cette dernière décidait d'élire domicile chez-lui ou de régulièrement venir partager sa couche.
Il fronça les sourcils.
-Une odeur ? Il y en a beaucoup ici... Je ne collectionne que la crème de la crème, qu'as-tu perçu, je pourrai peut-être t'éclairer ?
Il connaissait assez bien les gens qui oeuvraient pour lui et sa demeure.

[Niveau cruauté mais pour la perversité, Vlad est toujours le roi ! xD ]

Enjeru.
Le jeune homme fronça les sourcils et porta un doigt pensif à son menton. Il avait beau se creuser la tête, il savait qu'il serait incapable de dire avec précision où il avait entendu ces prénoms pour la dernière fois.
-"Angel", répéta-t-il, ce nom me semble familier mais je serai dans l'incapacité de dire pourquoi.
Il offrit un sourire charmant à la jeune femme.
-Tout ce que vous dîtes m'intéresse, répliqua-t-il avec un léger clin d'oeil.
Lorsque Kenji se leva, il eut un mauvais pressentiment qui se confirma lorsqu'il commença à décimer un à un sa grande collection. Enjeru afficha un air plutôt déçu. C'était tout de même des années d'ouvrage qui étaient parties en fumé ! Enfin, quoiqu'il en soit, Kenji venait tout de même de lui donner le tremplin dont il avait besoin...
-L'excuser ? Qu'il vienne quérir mon pardon lui-même ! s'exclama-t-il, légèrement frustré à l'adresse de Kenshi avant de ne soupirer et de feindre se calmer.
"Les femmes comme toi doivent être libres pour briller alors que les hommes comme ton frère sont comme des bêtes sauvages qu'il faut enfermer pour mieux observer. Je trouvais dommage de brider votre liberté mais je ne suis pas contre quelques nuits passées à tes côtés," lui répondit-il.
Un nouveau froissement de sourcil.
-Votre oncle ? Vous parlez de ce... Angel ? demanda-t-il, légèrement sceptique.
Bien sûr, il immobilisa complètement le jumeau de Kenshi pour éviter qu'il ne fasse des dégâts dans le reste de la propriété. Puis, il s'avançant vers le jeune homme.
-Je te rend ta liberté et c'est en détruisant ma demeure que tu me remercies ? Quelle impolitesse ! Tu es comme une bête sauvage qu'il faut laisser en laisse pour éviter qu'elle ne face des dégâts. Enfin, quoiqu'il en soit, tu dois être puni, fit-il froidement avant de ne tourner le menton de Kenji dans sa direction pour le forcer à le regarder et de n'abaisser une nouvelle fois ses lunettes soleil.
Il le regarda suffisamment longtemps pour qu'un puissant désir ne l'envahisse mais s'arrêta juste à temps pour ne pas que Kenji ne tombe amoureux de lui et remit ses verres fumés en place. Rendre le jumeau toute suite amoureux ne serait pas drôle. Néanmoins, il le laissa seul avec son désir, l'empêchant de se soulager lui-même avant de ne revenir s'asseoir sur sa chaise pour admirer le spectacle du jeune homme se tordant de douleur pour échapper aux vagues de désir qui le submergeaient. C'est alors que Kenshi vint s'asseoir sur lui, en califourchon. Il passa une mains sur ses fines hanches et l'autre sur sa cuisse opposée.
-Il est honorable de ta part de bien vouloir payer pour l'erreur d'autrui, commenta-t-il. Le fait que tu élueras domicile ici excusera amplement les maladresses de ton frangin.