[ Ton petit message est aussi tout mignon mamie :3 ]



- Mieux vaut rester neutre. Comme vous l’êtes maintenant.

Ah, il avait repris le vouvoiement.

Il l’observa s’étirer et médita sa question. « Je n’ai jamais eu fois un l’homme. Il peut se retourner contre vous à tout moment, vous trompez ou encore vous dénoncer, alors que hier encore c’était un ami proche, voir un amant … Ou même un parfait inconnu. Il est plus facile de faire du mal lorsqu’on ne connait pas. L’homme, dans sa tête, a de très bons principes. Mais pour une raison qui m’échappe, leur but semble être de les bafouer. C’est regrettable. » Il s’arrêta quelques secondes puis reprit. « Je ne pense pas que ça ira en s’arrangeant : c’est humain. Et puis c’est tout. »

Ciel sentit des fines gouttelettes  sur sa peau, le faisait relever la tête. Il se souvint de ce qu’il avait dit à Ririchyo quelques heures plus tôt : Je suis le Ciel. Et bien, à présent, il pensait cela bien présomptueux. Il ne retirait cependant pas ses paroles, un sourire ornant ses lèvres.

Il avança avec elle, après avoir remis correctement le sac sur son épaule. Ainsi on aurait pu le comparer à un ouvrier de bas âge. C’était déplaisant.

Ciel s’étonna de ce que lui montra Ririchyo. Elle lui expliqua que cela faisait des années qu’elle venait ici. Et lui pendant ce temps- là ? Dans son petit manoir avec ses nobles parents, à jouer gaiement dans le jardin en étant sourd à ce qu’il se passait hors de chez soi. Elle y avait été confrontée dès le début. Impossible de décrire ce que Ciel ressentait à ce moment précis.

- Il n’y a là rien de traumatisant … comme vous le dites c’est une expérience. J’y ai vu des bons côtés et des mauvais.

Il remarqua des enfants non loin, assis contre le mur d’en face. Ciel sentit son cœur battre plus vite face à ce spectacle, mais resta en retrait alors que Ririchyo distribuait les jouets de sa compagnie. Dedans il vit Mr Rabit, une belle peluche blanche et bleue, aux billes d'un bleu scintillant pour servir d’yeux. De tous, c’était son jouet préféré, mais il le gardait pour lui … Elle était bien au fond de sa penderie.

Ca l’amusa un peu de la voir tirée dans tout le sens. Mais son sourire disparu en voyant un enfant s’avancer vers lui, les mains tendues. Ayant également un sac, il se devait d’en donne aussi. Mais il eut un blocage : ce gosse lui ressemblait comme deux gouttes d’eau lorsqu’il était enfant. Ses cheveux étaient justes plus foncés, tirant vers le noir. Mais les yeux bleus étaient les même. Il était tiraillé entre lui dire de s’en aller ou à lui verser tout le sac de jouet sur la tête.

Il vit alors cette lueur de vie dans le fond de ses yeux, et se déraidit. Ciel jeta un coup d’œil à Ririchyo. Ce qu’il ne remarqua pas c’était que la même lueur s’y trouvait lorsqu’il la regardait. Il eut un sourire et posa son sac à terre, fouillant dedans pas la suite. Quand il eut trouvé, il se pencha vers le petit garçon et lui tendit : c’était un ours en peluche brun et blanc, fait de la même manière que Mr Rabbit. L’enfant sembla ravit et le serra dans ses bras.

Quelque chose lui tordit l’estomac. Un sentiment inconnu qui formait même un nœud dans sa gorge, et qui lui fit avancer sa main vers le jeune garçon. Après un moment d’hésitation il lui ébouriffa les cheveux avant de se relever.

- Va le montrer à tes copains.

Et il partit.



Alluka était toute excitée. Quand il lui dit ou se trouvait le premier indice, elle fonça littéralement vers la salle où il entreposait ses couteaux, qui jouxtait celle ou elle-même mettait ses gants. On pouvait dire qu’elle le connaissait par cœur.

La pièce était cette fois recouverte de peinture, un peu plus accueillante que les couloirs mais les couteaux alignés sur leur coussin de velours respectif cassaient cet aspect … Elle les souleva donc, à l’affut du moindre indice, et trouva un petit morceau de papier ou il était écrit. «Vous demandez votre pièce préférée serrait bien inutile, donc voici mon indice : son. »

Son. Pas le déterminant possessif mais le nom.  En clair, la salle de torture.

Et elle repassa telle une furie vers les escaliers menant au niveau inférieur, bousculant presque Yvan au passage.

Dernière modification par ornelle (2014-08-12 11:29:38)

~ Will ~

* Non son maître ne pouvait pas pas montrer ce genre de sentiments dehors et surtout pas a lui mais ce genre de changement était vraiment intéressant a voir. A sa réponse il fis un sourire et resta a ses côté *
- Désolé alors d'avoir exagéré vos propos, monsieur. Cela vous fera du bien puis avec un temps comme cela autant profiter un peu du soleil qui est peu présent ses derniers jours.* dit il doucement *

- Voulez-vous allez quelque part précisément ? * demanda t'il en le regardant *

[Y a pas de mal j’ai aussi rigolé en écrivant x)]



Quand les jeunes enfants furent partis, non sans un regard de la part de Ciel vers ce petit garçon portant ses traits, il se retrouva de nouveau seul avec Ririchyo. Il n’avait même pas vu que son sac avait été dévalisé dans son dos, lorsqu’il avait donné la peluche au gamin. Ciel eut un soupir, de soulagement également car le sac ne pesait presque plus rien à présent.

Il profita de ce calme pour revenir près de Ririchyo.

- Vous avez raison, c’est regrettable … Mais humain. Je suis dans le même état que vous : je n’hésiterai pas à me réjouir de la mort de ceux qui ont fait ça à ma famille. Cependant je n’irais pas jusqu’à l’exaltation.

Ciel s’arrêta quelques secondes, observant le sol se remplissant petit à petit de pluie.

- J’aurais juste le sentiment que ce qui devait être fait est enfin accomplit.

Il lui décrocha un sourire et changea de sujet quand elle lui dit qu’ils avaient encore du chemin à parcourir, ce qui était tout à fait vrai. Il rigola légèrement quand elle parla des filles mais ne s’attarda pas là-dessus.

Il la suivit avec plaisir, observant ce dos à l’opposé du large.


Alluka, elle, laissait son majordome et mari vaquer à ses occupations, continuant ce petit jeu bien sympathique. Elle espérait juste qu’il n’aurait pas fait exprès de cacher des indices dans des endroits inutiles, histoire de la faire courir dans tout le manoir …

Elle arriva donc à la salle de torture, se délectant des anciennes traces de sang et des chaines qui pendouillaient du plafond. L’indice se trouvait sur le bout crochu de l’une d’elle.

« Quand le son s’éteint, le corps son retrouve seul. »

Quand ils avaient des cadavres sur le dos, ou les entreposaient-t-il ? Le jardin bien sûr. Mais pas n’importe lequel. Celui devant le manoir n’était que pur décoration, il y en avait un autre, au cœur de la bâtisse. Elle s’y dirigea donc avec hâte.

Ciel était en face d’elle. Assise sur cette boite abandonnée, elle semblait réfléchir.

Ils étaient tous deux trempés, les vêtements épousant leur peau. Ses cheveux avaient également prit une teinte plus foncée et quelques mèches collaient à son front, mais cela ne le dérangea pas plus que ça. A vrai dire il aimait la pluie.

Ririchyo enleva son chapeau mais ses cheveux tinrent bon, ensuite elle déboutonna un peu sa chemise, laissant entre-voir un bout de son bandage. Il se demanda ou elle voulait en venir, fronçant les sourcils lorsqu’il vit l’arme sortir de sa cachette et qu’elle lui demanda si elle avait la sienne. Il acquiesça cependant à sa question.

- Je vous fais confiance.

Après tout ce qui leur était arrivé, la confiance ne faisait plus aucun doute. Enfin, elle avait atteint le niveau maximum pour Ciel : au fond, il se méfiait de tout. Mais pas beaucoup d’elle.

Il laissa échappé un petit « quoi ? » quand elle lui demanda de retourner au manoir.

- N’y pensez pas. Expliquer moi d’abord en quoi je gênerais la chose.

Elle lui demanda son arme. Il ne la sortit pas. « Qu’allez-vous faire, Ririchyo ? »



Alluka était dans le jardin. Elle fouilla l’endroit de regard puis se mit à le parcourir. Le deuxième jardin était grand, mais il y avait un endroit où elle pensa chercher en premier. Le tombeau de sa famille adoptive.

Elle entra donc, un air froid l’accueillant. On aurait pu penser qu’elle se serait arrêtée et serait restée silencieuse, mais c’était tout autre … Effectivement elle n’avait aucun respect pour cet endroit. Pour elle c’était même une décoration, remplie de lierre et de toiles d’araignée.

L’adolescente avança donc de sa marche déterminée, un grand sourire sur les lèvres, et trouva le bout de papier coincé entre les fines branches tordues des lierres. « Il n’y a rien de mieux que l’intimité … »

C’est ainsi qu’elle s’élança à travers le château, son sourire n’ayant pas quitté ses lèvres. Ou se dirige-t-elle donc ? Et bien vers la salle de bal. Une salle ou seul eux avait le droit d’entrer, et où tous les secrets étaient gardés … Là où ils aimaient aussi danser, naturellement. Cette  pièce avait beau s’appeler « salle de bal », personne d’autre n’y venait.

Elle vit ainsi la grosse peluche, qui n’était autre que la version XXL de Mr Rabbit mais avec des couleurs rouge remplaçant le bleu. Sans même prendre la peine de réfléchir elle se jeta dans les bras du lapin, renversant Yvan à terre par la même occasion, sachant qu’il se terrait derrière.

- Je t’aime, Yvan !

Alluka fit donc un gros câlin à Yvan et sa nouvelle peluche.

Dernière modification par ornelle (2014-08-12 16:29:15)

Ce sourire le déstabilisa un peu mais il ne se démonta pas. Dans un certain sens il avait l’impression qu’elle essayait de l’amadouer …Ce qui n’était pas vrai bien sûr. Enfin, il espérait. Quelle honte, ou s’enfuyait donc cette confiance si durement acquise ? Il fallait dire que tant de mystère, c’était louche.

Il secoua légèrement la tête pour remettre ses idées et place et vint accrocher son regard également. 

- Excusez-moi. Je vous fais confiance.

Essayait-il de se convaincre ? Il avait aussi peur qu’elle se mette dans une situation délicate, voir dangereuse.

Oh non ! Allait-elle vendre son corps ? Le début de la phrase de Ririchyo lui fit tourner la tête. On aurait presque pu imaginer de la fumée sortir de ses oreilles. Ciel Phantomhive n’aimait pas être mit à l’écart, et il n’aimait pas non plus devoir choisir entre la confiance et la raison.

Puis elle dit que justement, le fait qu’elle l’aimait sera utilisé dans son plan. Soulagement, elle ne ferait pas l’irréparable …

Mais à quoi il pensait depuis tout à l’heure ?

Il sembla se réveiller lorsqu’elle descendit de la caisse et tendit de nouveau sa main vers lui. Après quelques secondes d’hésitation il posa ses doigts sur la crosse de son révolver, caché entre sa peau et la ceinture de son pantalon. La chemise était trempée, le pistolet se voyait légèrement.  Il la sortit et le déposa en quatrième vitesse dans sa main, une moue légèrement agacée sur le visage. Elle l’avait eu, encore.



Ce petit je vous aime la fit grandement sourire et, couchée complètement sur lui, elle avait calée sa tête dans son cou. De ce fait elle voyait le sol mais soit, elle était bien là.
Elle essaya d’articuler dans sa position.

- Tu me connais par cœur, Yvan.

Enfin, le jeu qu’elle venait de faire prouvait que, elle aussi, le connaissait plutôt bien. « Mes lèvres ? » Elle s’en amusa. Bien sûr elle n’en doutait pas mais il lui disait indirectement les aimer et même les contempler.

Dernière modification par ornelle (2014-08-12 17:40:04)

Il la regarda s'éloigner, tendit que lui restait penaud à coté des caisse. Sans arme, trempé jusqu'au os, il ne pouvait plus que sen remettre à son destrier pour se protéger, et se dirigea donc vers celui-ci. Il devait avouer qu'être seul la nuit dans ces ruelles sombres ne le rassurait pas trop, mais il tut cette impression de le plus possible.

Il remonta sur le cheval après l'avoir détaché, seul cette fois, et reprit la direction du manoir, sans même un regard vers le bar. Il croisa quelques enfants en chemin, surprenant quelques uns avec des jouets Phantom dans les bras.

Et il quitta bientôt Londres pour rejoindre le manoir.

Elle avait parlé de demain soir. La visite de son manoir avec la jeune sœur de Ririchyo et elle même serra donc reporté. Il soupira, se demandant ce que la jeune fille avait en tête.



Elle sentit les mains de son majordome dans son dos, la maintenant dans cette position. Elle esquissa un sourire, qu'il ne vit pas, avant de se redresser légèrement. Les bras sous elle, la soutenant, elle se pencha devant Yvan. Elle avait peu d'occasion de la voir ainsi de face, étant beaucoup plus petite que lui.

- Ah bon ? Qu'es-ce qui te retiens ?

Elle eut un sourire, le sujet déviant vers le repas. "Dommage, je suis bien ici ... Mais je n'aime pas les repas froid."

Ciel avait rentré le cheval à l'écurie puis l'avait bouchonné, étant lui aussi trempé. Il passa là une dizaine de minutes avant de repartir d'un pas pressé vers le manoir, la pluie ne s'était pas arrêté. Il rentra donc, trempé, accueillit par Lizzy. Il lui lança un regard puis se décida à parler. Il n'était pas à l'aise de savoir Ririchyo dehors, seule.

Sans même se débarbouiller il se dirigea vers le bureau de la demoiselle, qui lui avait dit y trouver son plan.



Alluka s'accrochait à Yvan tel un panda, ayant de nouveau enfuit son visage dans son cou. Le lapin était resté dans la pièce, Yvan le montant plus tard dans sa chambre. Chambre qu'elle partagerait avec lui aujourd'hui ...

Ils arrivèrent dans la vaste salle à mander, et Alluka se décrocha à contre-cœur. Elle s'installa à sa place, salivant d'avance devant ce qu'il lui avait préparé.

Subaru était plutôt content que, malgré le temps, Sora ne se soit toujours pas habituées aux petites manies de Subaru! Oui, c'était des jeux tellement amusant pour le démon.

Subaru resta là, à regarder sa jeune maîtresse,
- Un cadeau de votre part? Bien sûr que je vais aimer! dit-il simplement, ne pouvant empêcher un petit sourire d'étirer ses lèvres.

Il la laissa chercher le cadeau puis, il la vit revenir avec une petite boîte, ça intriguait vraiment le majordome tout ça! Il prit délicatement la boître, elle était noire avec des écritures argentés, c'était une jolie boîte, puis, il l'ouvrit pour découvrir la magnifique montre à goussert, là, les yeux de Subaru s'écarquillèrent, c'était vraiment splendide! Il sortit la montre de la boîte avant de la poser sur la table de chevet de Sora et de regarder de plus prêt cette montre. Il appuya pour l'ouvrir,
- C'est vraiment magnifique... dit-il en refermant doucement la montre.
Il décida de la remettre dans la boîte pour ne pas l'abîmer, puis, il se retourna vers la jeune fille, il passa une main sous le menton de celle-ci pour le relever et il approcha ses lèvres des siennes pour les poser délicatement sur celles de sa maîtresse, il passa également l'autre main dans son dos pour la presser délicatement contre lui, il scella alors un tendre baiser avec Sora avant de se séparer,
- Je vous remercie, elle me plait vraiment... dit-il doucement, c'est pour moi que vous avez prit tout ses risques? demanda-t-il en passant sa main de son menton à sa joue, la caressant avec une infime tendresse.
Le pervers était loin, là, c'était le Subaru tendre et romantique.[/b]

Dernière modification par limonadecitron (2014-08-13 00:03:36)

Il commença la lecture sans attendre.

Il se passera ce qu’il se passera ? A ces mots la gorge de Ciel se nouait douloureusement. Il aurait vraiment dût rester avec elle …

Elle lui expliqua ensuite les instructions, ce qui amena un soupir venant de sa part. Et bien il n’avait plus le choix à présent, il devait suivre ce qu’elle disait. Mais ce nœud dans sa gorge se resserra davantage quand elle lui avoua avoir peur.  J’espère que vous savez ce que vous faites.

Ciel remit le papier à sa place, dans ses pensées, avant de se tourner vers Lizzy. « Tu n’es au courant de rien ? » Il fit ensuite le tour de la pièce, en sortant finalement pour découvrir un couloir vide. Vide. Sans mademoiselle Ririchyo ça en était désespérant. Il se demanda comme il avait réussi à ne pas la voir pendant plus d’une semaine à cause de cette maladie …

- Ou est Sébastian ?



Alluka observait Yvan disparaitre derrière la porte. Elle mangea son repas en silence, nullement dérangée par l’aspect glauque de la pièce. Grande au plafond haut, elle était décorée avec un gout très poussé. De gravures était faites au plafond, représentant des anciennes divinités mangeant leurs enfants ou autres atrocité, et des crânes étaient fièrement posé sur le rebord de la cheminée. Cheminée qu’une servante débarrassait de ses cendres d’ailleurs.

Elle eut un sourire, qui la femme au teint cadavérique lui rendit. En fait, Alluka l’aimait bien, elle ressemblait à un cadavre …

Ciel était pour le moins agacé et regardait sa majordome d'un regard mauvais. On pouvait dire ... Que la situation le stressait légèrement. Ou qu'il était tout simplement différent et plus capricieux quand Ririchyo n'était pas là. C'était comme un remède, qui l'apaisait et lui donnait raison. Mais sans  elle, il redevenait le Ciel Phantomhive qu'il avait toujours été, qui avait tout sauf le cœur sur la main. Regrettable mais vrai.

Sans s'arrêter il lui lança d'une voix pleine de reproches mais calme :

- Tu le sais depuis combien de temps ? Tu aurais du m'en parler.

Il avait déjà eut de mauvaises relations avec son démon précédent, Behemoth. Il savait qu'il était désagréable mais ses majordome semblaient ne vouloir en faire qu'a leurs tête. Repenser à Behemoth n'était pas un bon moyen pour reprendre contenance.

Ciel déboucha d'un pas rapide dans un couloir du second étage, cherchant Sébastian des yeux. Il le trouva dans la cuisine, Grell pendouillant à son cou ... Il était encore là celui-là ?

- Sébastian ! Aboya presque Ciel.

Ledit Sébastian tourna les yeux vers lui, avec un calme olympien qui contrastait fortement avec Ciel.

- Je peux faire quelque chose pour vous monsieur ?



Pendant qu'Yvan regardait la peluche dans le rouge de ses yeux, Alluka avait tranquillement finit son repas. Plutôt gloutonne, ça n'avait pas prit très longtemps, et bientôt elle fut sur ses pieds. Sans un commentaire vers la servante - qui s'appelait Samantha alias Sam - elle quitta la pièce.

- Yvaaaaaan ! Hurla-t-elle. Tu l'as mis où le corps ?

Quelqu'un passant par là aurait des yeux rond ... Mais les domestiques de la maison Zoldyck étaient habitués à ces échanges étranges.

(Je m'incline platement devant la mamie Natsu et sa petite-fille Nellie pour ne pas être passée avant X.X )

-Grell-

Quelle avait été la réaction de Grell ?
Celle de sauter par la fenêtre.
Oui, mais avant il y avait eut le retour de la statue figée dans sa stupeur, puis le menton qui trembla d'abord lentement puis de plus en plus vite alors que des larmes roulaient dans ses yeux (étrange expression, je sais) avant de se transformer en fontaine salée jaillissant de ses iris jaune ...
En passant par le roulement de crêpe sur le sol, mais cette fois sans rire évidemment, puis par ces mots :

-C'est pas possiiiiiiiiiiiiiiiiiiii[...]iiiiiible !

Et là, il se jeta par la fenêtre avant d'atterir pitoyablement dans un majestueux bruit de ... caca.

Quant à aujourd'hui, le revoilà, légèrement changé ...

-Papaaaaaaa ! Ta fille adoréééeeee vient te voir !!!l

Oui, il s'était fait une raison, car il lui restait au moins son Kenichi-chéri et son Undertaker-... ekeker et son Willy-d'amour !
Et puis, avouons-le, maintenant on savait d'où venait sa beauté, son incroyable prestance et aussi ... pourquoi il était aussi sexy ! *voyez Grell en train de se passer une main dans les cheveux avec un sourire point.... colgate*


-Enju-

-Je vois, c'est encore un peu trop difficile pour vous pour le moment, mais je suis certain qu'un jour vous parviendrez à vous ouvrir aux autres, ne vous manque plus que l'entraînement ...

Puis la voiture s'arrêta et il descendit donc, ouvranr la portière et la tenant ensuite pour sa maîtresse.

-Si vous voulez bien sortir ...

( Tu es toute pardonnée XD , tu es toujours partout alors ! flash Nono ' )


Lizzy se tourna donc vers Grell , son frère qui était collé à ce qui pourrait être leur père et qui lui lança un regard qui le réprimandait . Puis finalement il se jeta par la fenêtre , elle le suivit du regard et entendu un drôle de bruit comme plouf .. Enfin l'atterrissage certainement de son frère , elle tassa donc ses cheveux rouge sang comme si elle enlevait le lien qu'elle avait avec ce dernier

Puis elle écouta attentivement .  Ça en était dangereux de voir Ciel et Ririchyo si proche . L'humeur était si changeante ...  Elle ne voulut pas demander ce qu'était cette promesse mais elle l'observa .

Il en semblait presque malade

- Ciel , voulez vous quelque chose ? Du repos , vous asseoir ?

Même si elle savait  qu'elle ne pourrait répondre à sa demande au fond de lui . Celle d'avoir la demoiselle Ririchyo près de lui