[ Quelle idée ? xD Je ne me rappelle pas non plus mais je vais inventer un peu l'histoire avec ce dont je me souviens. ]

Ciel sentait la peur de Ririchyo. Une certaine connexion les unissait, mais ces cicatrices, n’importe qui aurait pu voir que cela ébranlait la jeune fille.

Son cœur battait vite. La main de Ririchyo qui l’effleurait n’arrangea rien, installant une certaine gêne qu’il camoufla pourtant. Il se demanda si elle arrivait à en sentir les battements sous sa peau. Et quand elle accrocha ainsi son regard au sien, c’est un véritable bond qui l’anima. Ses yeux très légèrement baissés s’animèrent de reconnaissances alors. Ririchyo devait faire abstraction de bien des choses, pour oser ainsi garder sa main à cette place. Elle était courageuse.

- Je n’en ai pas mené large pendant un moment. Cette force ne s’est pas acquise d’un claquement de doigts. Sur le coup … Vous ne pensez pas au lendemain. Vous espérez qu’il ne vienne jamais.

Sa voix sa brisa quelques secondes mais il se reprit bien vite. Voilà que la jeune fille parlait de force, autant la garder jusqu’au bout.

Il se dit que s’il était si fort à présent, c’était tout simplement grâce à elle. Qu’elle cherche tout de même la beauté dans ses cicatrices le fit légèrement sourire. Même si elle n’arrivait pas vraiment à poser de mots, il était touché par le simple fait qu’elle essaye. Il ne chercha pas à la questionner sur la fin de sa phrase.

Leur proximité ne les dérangeait plus. En fait, Ciel n’était même pas sûr que cela les aient dérangé un jour. Tous deux avaient évité ce genre de gestes pour éviter de s’attacher, sachant pertinemment qu’un jour le pacte les séparera, mais au fond il avait toujours voulu une proximité pareille. Et à présent cette promesse, ces paroles, ce baiser, cette confiance… Avaient balayés tous ses doutes.

Le regard de la jeune fille se posa de nouveau vers sa marque. Il en fit de même.

Celle qui se démarquait des autres. Qui avait brûlé sa chair. Celle qui lui avait prouvé qu’entre leur main il n’était qu’un animal.

- Celle-ci vous intrigue donc.



Alluka aimait ses yeux rouges. Et surtout, elle aimait quand ils s’animaient pour elle. Et seulement pour elle.

Elle ne doutait pas du désir d’Yvan. Aussi bien pour le gout que pour le plaisir charnel … qui bien qu’elle n’ait jamais testé, ne lui faisait pas peur. Malgré tout ce qu’Yvan disait, il ne l’avait jamais touchée : elle ne s’en formalisa pas bien sûr, restant neutre sur le sujet, mais elle le soupçonnait de vouloir la garder innocente un moment encore. Innocente de ce côté-là du moins. Ou alors elle était à côté de la plaque et il attendait seulement quelque chose. Enfin soit. Elle préférait penser aux cadavres qu’elle laissait dans son sillage.

Alluka était à présent dans la boucherie. Elle regarda la pièce, évaluant le nombre potentiel de mort. Aprioris deux mais il y avait une cliente qui risquait de la gêner. L’adolescente fit claquer sa langue dans sa bouche. Le plus simple : la tuer aussi.

Soudain son regard s’illumina.

Alors que le boucher regardait avec interrogation et une certaine peur Yvan, suivit par sa femme, Alluka s’adressa avec entrain à son majordome.

- Je veux tester une nouvelle chose aujourd’hui !

Elle se tourna vers son mari.   

- Fais donc s’asseoir la jeune cliente.

[ Garde là alors j'aime les surprises x) J'aime t'effrayer ! La bannière c'est Citron qui l'a faite ;) ]




Il écarquilla légèrement les yeux quand elle lui dit penser reconnaître la marque. Il voulut alors lui empoigner les épaules et la presser de lui dire ou exactement, mais se ravisa. Sa dernière envie était de la brutaliser dans un moment comme ça. Il garda donc son calme, en opposition à son corps qui bouillait de l'intérieur.

- Vous pensez l'avoir déjà vu ? Dit il avec un certain empressement tout de même. Pardonnez moi d'insister ... Mais essayer de vous souvenir.

Mais le calme revint en lui quand la main de la jeune fille vint rencontrer sa joue. Il était impossible qu'une larme tombe. La jeune fille essuya donc un larme qui n’existait pas, mais malgré cela ce geste l'apaisa en un instant.

Dire que cette marque lui disait quelque chose avant de se raviser était cruel. Aussi cruel que le moment ou il l'avait poussé à décrire tout ce qu'elle aimait chez lui ...

- Il ne faut pas parler au nom du monde, ce n'est pas votre faute ... Le monde est remplis de bien des choses. J'ai juste croisé le chemins des mauvaises. Tout comme vous.

Jusqu’à maintenant. Le monde lui avait enfin tracé une voie qu'il aimait emprunter. Même si celle en parallèle, si proche, le condamnerai au bout du chemin.

Puis elle le regarda de nouveau dans le yeux. Il ne fuit pas son regard, cherchant même à chercher plus loin. Ne dit-on pas que les yeux sont le reflet de l'âme ?




Alluka était donc neutre sur le sujet. Mais ça ne l'empêchait pas de taquiner son majordome bien des fois ... Elle aimait bien jouer ainsi avec lui. Comme par exemple manger de façon suggestive, pour son propre amusement à voir ses réaction. Encore sur ce point ils aimaient la même chose .... Bien sur elle faisait ça en toute innocence. Pour elle ce n'était qu'un jeu de plus.

Elle l'observa retourner la pancarte. La jeune femme était à présent assise, se demandant surement ce qu'on lui voulait. Alluka remarqua la peur la prendre doucement lorsque le pancarte fut totalement retournée.

- Quelque chose qui, j'espère, te plaira Yvan. Mais ce n'est qu'un test.

Elle s'approcha donc du comptoir, louchant par moment vers le couteau bien aiguisé sur la table de travail. Le boucher, ayant moins peur d'une jeune fille aussi frêle aux airs de poupées, s'avança donc avec une certaine assurance.

Alluka lui fit un sourire d'ange. Le jeu commençait. L'homme lança un regard peu rassuré vers Yvan, puis regarda sa main bandée, petit souvenir du majordome. D'abord elle choisit de lui faire une poignée de main, aimablement, prenant plaisir à serrer pour que la blessure se ré-ouvre. Le sang tâcha la bande. Par réflexe il tenta de dégager sa main sans succès.

A présent elle ne souriait plus. D'un geste habile elle prit le couteau. Tenant à présent fermement son poignet, elle lui sectionna la main, le faisait hurler. Le sang gicla dans la figure de la jeune femme assise. L'autre s'enfuit en courant,  abandonnant lâchement son mari. Mais Alluka lui renvoya le couteau par derrière en plein dans la tête. Le corps s'effondra. Et en tout bonne joueuse qu'elle était, elle positionna ce corps juste à coté de la pauvre cliente, qui semblait avoir perdu l'usage de la parole.

- Le commencement du show vous plait-il Madame ?

Tout en parlant à cette dernière, elle jeta un coup d’œil vers Yvan, un sourire lubrique sur le visage, lui posant muettement la même question. Torturer l'esprit de cette dame en lui montrant tout ça en direct ... Voila donc la nouvelle idée.

Ciel avait un œil bleu ainsi qu'un violet. Cela l'amusait de se dire qu'un de ses yeux ressemblait à ceux de Ririchyo. Un violet moins profond cependant, qui communique moins de sentiments par son manque de pupille.

Puis la jeune fille brisa ce lien qui s'était installé, non sans raison, et fouilla quelques secondes dans ses nombreuses lettres. Lui, observait par dessus son épaule. Le sang battant dans ses tempes, la choc était grand. Sa respiration aurait pu être erratique si il ne la contenait pas en lui. Il se rapprochait ... Proche, proche. Mais cela l'effrayait en même temps.

Quand elle lui présenta la lettre il eu presque peur de la toucher. Mais il effleura le symbole du bout des doigts avant que la jeune fille ne se relève.

- Un ami de votre père ? Y a-t-il le nom du destinateur ?

Que Ririchyo puisse être impliqué ... Combien de chance y avait-il ? Bien sur la jeune fille avait beaucoup de liaisons, tout comme lui.



Elle sourit à la remarqua d'Yvan, avant de reposer son regard vers la cliente. Sans s'arrêter de la regarder, elle retira le couteau du crâne de sa victime. Et sans rien dire, elle posa son doigt sur sa bouche, le regard mystérieux, sifflant un petit "chuut"

Alluka se redressa, secouant d'un coup sec le couteau pour le débarrasser un minimum de son sang, qui la maculait également à présent.

Le boucher fut pétrifié quelques secondes. Puis sembla revenir à lui, tentant de s'échapper comme sa défunte épouse. Ce qui fit soupirer Alluka : ils avaient toujours la même réaction. Elle se mit donc à marcher vers lui, le calant dans un coin de la pièce. Elle ne fit rien tout d'abord. Puis, à l'aide de son couteau, fit apparaître une balafre verticale le long du visage du vendeur.

L'arme à présent positionnée en face de l'homme, elle le fit avancer jusqu’à la femme. Puis donna le couteau à cette dernière toute tremblotante.

Le boucher en face de la chaise, la cliente devant lui, qui se regardaient avec détresse. Alluka ordonna à Yvan de retenir l'homme bien en face de cette pauvre dame. Puis, d'un coup presque invisible, elle posa sa main sur la nuque du boucher, embrochant sa tête dans le couteau que la femme tenait.

- Je ne vous tuerais pas. Vous le ferez vous même, dit-elle avec un sourire presque angélique.

Ciel la suivit jusqu'à son bureau, reprenant un semblant de clame intérieur. Cela ne servait à rien de paniquer ni de s’exciter, d'ailleurs.

Il prit un chaise et vint s'asseoir à coté d'elle.

- De quoi parle-t-elle ?

Puis il se souvint qu'il était torse-nu. Honte à lui d'avoir oublié ce détail. C'est donc en deux en trois mouvements qu'il se rhabilla, fermant ainsi les derniers boutons de sa veste, puis vint se rasseoir.

Il observa les geste de Ririchyo.

- J'ai ce symbole également gravé dans la mémoire. J'ai essayé toutes les combinaisons possible et je n'y voit qu'un malheureux dessin.



Alluka retira le pauvre homme des bras de la jeune femme, emportant le couteau avec. Le corps retomba à coté avec un bruit sec, puis ce fut le silences. Pendant quelques secondes, ou elle regarda Yvan. Puis elle sourit d'amusement.

- Je n'entendais pas cela comme ça ... du moins au départ.

Elle se tourna de nouveau vers la jeune femme.

- Vous semblez vouloir vivre ... Elle regarda Yvan du coin de l’œil. Tu semble vouloir qu'elle vive ... Mais pas Alluka.

Pourquoi donc emploie-t-elle la troisième personne ? Car ce n'était tout simplement plus Alluka.

Des orbites noires sinistres fixèrent la jeune femme. Mais avant qu'elle n'aie pu prononcer le moindre mot, Nanika la décapita en une fraction de seconde. Puis elle redevint elle-même.

- Oups ...

Ciel avait sentit le regard de Ririchyo dans son dos. Et en bon joueur qu'il était il avait hésité entre prendre son temps ou au contraire la priver de cette vue. Qui n'était bien sur pas très belle mais le fait qu'il soit à moitié nu devant elle était en soi inédit. Avec un petit sourire camouflé il avait finit par se dépêcher, se rasseyant donc sur la chaise.

- Bien des choses ... Mon endroit préféré jusque là, en compétition avec le jardin.

Et son sérieux revint au galop quand le sujet de la lettre repris.

- Une lettre des plus banales ...

Ciel était étonné. Comment quelque chose aussi commune pouvait avoir un rapport avec l'identité de celui qui se cachait sous cette signature ? Et pourquoi prendre le risque d'utiliser le même logo pour la vie de tout le jour mais également pour ces activités illégales ? Les questions semblaient sans réponse pour le moment.

A moi que ce soit une lettre codée. Mais cela voudrait dire ... Que le père de Ririchyo était censé la comprendre. Et ça, ce n'était pas bon du tout.

Il l'écouta raconter cette petite anecdote, qui ne lui fournit malheureusement pas plus d'informations. A part que Ririchyo était une petite rebelle enfant, mais ça il le savait déjà.

- Je vous accompagnerai. C'était de toute façon prévu non ? Dit-il avec un petit sourire.



Alluka s'assit gracieusement sur le comptoir, jouant avec le couteau remplis de sang. Et elle aussi d'ailleurs.

- Je pense un jour devoir me mettre à autre chose qu'à la coupe ... J'aime bien tester, comme tu as pu le constater. Mais à main nue cela ne me plait guère... Avec une tronçonneuse ? Un marteau ?

Oh, quelle bonne idée le marteau.

Puis elle l'entendit parler de viande gratuite.

- Bonne idée ! Coupe les donc et mélange les aux pièces de steak. 

Dernière modification par ornelle (2014-07-28 20:51:09)

x Subaru x

Oui, Subaru savait se tenir et les réactions timides, gênées, paniquées de Sora ne lui appartenait qu'à lui. Lui seul avait le droit de le voir, et surtout de lui procurer!

Subaru hocha la tête,
- Très bien. dit-il simplement.

Il paya la robe et ils purent sortir, sa petite maîtresse le tenait, il trouvait ça fort charmant et la laissa faire, il sortit avec elle accrochait et très vite son regard fut attiré par les deux femmes, il sourit en coin, les deux filles rigolèrent en le regardant, échangeant des messes basses entre elles, puis, l'une s'approcha pour accoster le majordome, elles prétextèrent de s'être perdue, le majordome s'inclina légèrement à sa maîtresse pour l'excuser le temps qu'il aide les deux jeunes femmes, et surtout qu'il les regarde un peu plus. 

Dernière modification par limonadecitron (2014-07-28 22:27:52)

x Subaru x

Le majordome regarda les deux femmes pour les aider à trouver leur chemin, bien sûr,  même leur explication étaient confus car elle ne voulait qu'une chose, la compagnie de Subaru. Mais toujours "docile" et gentil avec les dames, les jolies femmes plutôt, Subaru les aida sans problème,  prenant son temps, il vit vivement Sora aller vers  magasin. Il n'avait pas d'inquiétude, en ville, elle ne s'aventurait jamais très loin.

Ce n'est qu'après plusieurs minutes que les femmes lacherent Subaru, il s'inclina toujours poliment et les laissa partir en gloussant sur sa beauté.  Ça faisait toujours plaisir au majordome.

Puis, il se retourna mais il n'aperçu Sora nulle part... Un petit air agacé s'afficha sur son regard si sexy. Il ferma les yeux et tenta de repérer la présence de sa maîtresse.  Puis, sa marque brilla,  il porta sa main à son oreille et en un saut il se retrouva entre la jeune fille et les agresseurs, il fixa Sora,
- Pardonnez moi d'arriver que maintznant! dit il en s'inclinant,  quels sont vos ordres? demanda-t-il, l'ordre suprême?  dit il avec un air sadique sur le visage.

x Subaru x

Subaru était face à Sora, le regard affichant aucune émotion, juste un léger sourire sadique se dessina sur ses lèvres quand il entendit la phrase des hommes.
- M'avoir en récompense? Je ne suis pas attiré par les hommes...

Puis, Sora prononça son souhait, il la regarda cette fois ci avec un sourire et un regard pervers, comme s'il allait la dévorer sur place, de mannière très... Sensuelle.
- Mmmh... Ca vaudra un petit tour dans votre lit ça!

Puis, il se tourna et d'un geste simple et rapide, il déboîta l'épaule de l'homme qui avait osé traité sa maîtresse de sale gamine.
- Un homme de votre espèce n'aurait même pas le droit de vivre... fit Subaru avant qu'une giclée de sang apparaisse.
L'homme s'effondra au sol presque devant Sora.

Puis, il se tourna vers les autres hommes, il craqua ses doigts et une expression de tueur en série apparue sur son visage. Il leva les mains et il passa juste à côté en comptant jusqu'à 3, quand il prononça le chiffre 3, les hommes tombèrent au sol dans une marre de sang. Subaru s'essuya les mains, il n'avait pas ses gants mais bon, au moins ses mains allaient être propre.

Puis, sautant des cadavres à sa maîtresse, il enleva sa veste pour lui mettre autour, il la ramassa telle une princesse,
- J'ai peur que notre balade ne s'achève ici... dit-il avant de l'emmener hors de cette ruelle vers la calèche.
Subaru resta silencieux, il ne lui fit même pas la morale sur le faire que s'éloigner était mal... 

Ciel voyait bien que la jeune fille réfléchissait activement. Son père serait-il capable de telles atrocités ? Il ne le connaissait pas, mais ne trouva pas la réponse dans le regard de Ririchyo. Il décida de ne rien dire. Après tout, n’importe lequel des hommes –y compris les meilleurs- peuvent être poussés à faire des choses dont ils ne se seraient jamais imaginés.
Voilà que l’occasion de partir dans les bas-fonds de Londres se présentait à nouveau. Pour une cause non réjouissante mais rencontrer ces personnes pourraient peut-être apporter de l’aide.

Il observa Ririchyo se lever et, avec un dernier regard vers la lettre, la suivit. Il se remémora ces vêtements essayés quelques heures plus tôt et eut un petit sourire. Ciel se sentait plutôt à l’aise dedans, même si il n’adopterait pas cette mode tous les jours.

- Des jouets ?

Il la questionna du regard.

- Et bien, répartissons nous le poids. Un sac chacun.


Alluka l’observa faire, lui ayant lancé le couteau précédemment pour qu’il puisse couper la chair à son tour. Cherchant dans son regard le plaisir qu’engendrait cette découpe, elle eut un sourire.

- Je vais racheter cette boucherie.

Tout en parlant, elle caressa les parois en pierre anciennes de la boutique, un air un peu rêveur peint sur les lèvres.

- Le jardin … N’a plus de place pour d’autres cadavres, expliqua-t-elle simplement. Il est temps de faire un nouveau business.

* Si seulement les hommes savait son passe il saurait que l'innocence de la jeune fille n'était déjà plus la. Elle avait vécu dans cette rue aussi, elle avait vu du sang couler devant elle, des bagarres, des couples qui s'entretuaient juste pour aller avec d'autre, les balles des policiers lorsqu'elle voler quelque chose. Sora avait perdu son innocence mais le cacher bien.

Elle fus soulagée de les voir a terre ne doutant pas des capacités de son majordome et il l'amena donc a la calèche l'enroulant dans sa veste deux fois trop grandes pour elle. Elle resta contre Subaru qui était trop calme pour elle puis il parla et elle le regarda aussi sérieusement que lui *
- Tu aidé ces dames, je n'allais pas t'empêcher de les aider. Et je ne pourrais pas t'en vouloir ni t'en tenir rigueur vu que tu es arrivée a temps et que je suis en vie. C'est le principal, non ? Ne t'en fais donc pas, tu es tout pardonné Subaru * dit elle avec un grand sourire puis elle grimaça un peu en mettant sa main sur son ventre, la blessure quelle cacher avec la manche qu'elle avait trouvée par terre la faisait souffrir *

* Oui elle était courageuse aujourd'hui a cause de son passée dans ses rues froides et bruyantes et elle avait pu s'en sortir sans l'aide de Subaru un moment mais heureusement qu'il était intervenus, elle n'aurait rien pu faire d'autre.

Maintenant  la jeune fille profiter de la vie en essayant d'être coquette vu qu'elle adorait les vêtements puis pour tenter d'oublier ce qu'elle vivait petite. Même si certains souvenirs revenait, son majordome était toujours la pour lui faire penser a autre chose et elle lui en était extrêmement reconnaissante même s'il ne le savait pas.

Sora regarda Subaru qui remarqua qu'elle grimaçait, elle écouta sa question et fis un hochement de tête pour le rassurer mais comment tromper l'odorat d'un démon ? Il écarta ensuite la veste mais elle avait cacher avec un autre vêtement. Elle enleva sa main de son ventre et aperçu un peu de sang dessus, elle regarda a nouveau Subaru avec une lèvre grimace *
- Il ma coupé ... Mais je pense que ce n'est pas si grave que ça... * dit elle doucement en prenant sur elle. Le boit de tissu noir comprimer un peu la plaie mais ce n'était pas pour autant que ça allait l'arrêter complètement *

Dernière modification par ashleegreen (2014-08-03 23:02:51)

Mamie :D



Ciel n'avait pas pu s'empêcher de suivre son doigts d'un yeux lorsqu'elle imita un chef d'orchestre. Il eut ensuite un sourire à ses paroles, même si bien sûr il avait reconnu ses jouets : ils venaient de sa fabrique après tout.

- Etant un enfant j'ai le don pour attirer l’œil sur mes jouets ... Vous savez bien sûr que j'aime les jeux.

Il la suivit lorsqu'elle sortit du bureau, les mains derrière le dos. Il eut un dernier regard vers cette pièce remplie de secrets si spéciale à ses yeux, mais qui disparut bien vite aux tournant du couloirs.

- Mais je ne vous en ait pas encore parlé ... Je commence à présent une ligne de bonbons. Peut-être seront il à votre goûts. 

Bien sur il ne disait pas ça à des fins publicitaires.

Ririchyo lui parla ensuite de l'écurie et du cheval qui l'y attendrait - commun donc parfait. Il prit donc soin de fermer la porte derrière lui, observant par la même occasion cette chambre qui, il devait l'avouer, contenait une atmosphère étrange. Et pourtant chaleureuse. Enfin soit. Et il fit une chose stupide.

- Je vous jure de ... Il se sentit bête. Et il arrêta donc.

Comme si l'esprit de son frère était encore dans la pièce ...

La protéger ? Ce n'était pas l'envie qu'il manquait, mais Ciel savait qu'il manquait bien sûr de force. C'est en palpant ses avant-bras qu'il décrocha une moue contrariée, mais il ne servait à rien de revenir là-dessus. Il entreprit donc de s'habiller en vitesse pour rejoindre l'écurie, traversant sans se tromper les couloirs. Il était assez étrange de se dire que le manoir semblait si familier à présent ...

Il arriva donc à l'écurie.



Alluka poussa un cri d’effroi, s’élançant vers Yvan. Et elle réussit à rattraper les gants, le souffle court, étalée à terre comme une crêpe. Sa robe à moitié relevée, le nez dans la poussière, elle tenait d'une manière plutôt triomphante les gants. Elle réussit à articuler, redressant sa tête vers lui.

- Tu sais très bien que je les gardes !

Alluka ne s'énervait pas. Mais était prête à bouder, malgré le fait qu'elle aie sauvé ces bijoux in-extremis.

Elle s'agrippa au bras d'Yvan pour se relever. Et bien sur ses deux jambes elle lui lança :

- C'est une chose bien difficile que tu me demandes là. Continuons donc cette affaires que je réfléchisse entre-temps ... haha.

Sa blague méritait quand même un petit rire.

Elle hocha la tête quand il lui proposa de partir.

x Subaru x

Maintenant que le démon était là, il ferait tout ce qui est en son pouvoir (ça veut dire tout), pour que Sora se sente bien et vive bien... Plus elle serait heureuse, plus son âme à la fin serait délicieuse! Et Subaru allait pouvoir en faire un vrai festin! Enfin, c'était aussi pour sa maîtresse hein !

Mais, Sora avait décidé de cacher cette blessure... Subaru la regarda avec un regard légèrement froid. Alors elle voulait lui cacher ça? Il regarda et appuya légèrement dessus, ses doigts semblaient s'enfoncer, ce qui ne devait pas être très agréable,
- Ce n'est pas grave? dit-il en haussant un sourcil, ne vous moquez pas de moi !

Subaru avait horreur que Sora fasse ce genre de chose, et elle le savait très bien. La calèche arriva rapidement à la maison, même si c'était trop lent pour le démon. Il attrapa Sora pour la porte comme une princesse,
- Je vais soigner tout ça... dit-il avec un petit sourire en coin.

Il alla déposer Sora sa chambre sur son lit,
- Je reviens, je vais chercher de quoi nettoyer tout ça... Enlever ce bout de tissus impur et déshabillez vous! dit-il sur un ton un peu autoritaire.
Et si Sora refusait de lui obéir, il a sa propre méthode pour la faire changer d'avis,
- Où... Préférez vous que ça soit moi qui le fasse? dit-il sur un ton un peu pervers, glissant ses mains sur le corps de sa jeune maîtresse.