La séance de massage débuta réellement quand il dit qu'il allait se taire et dans ce silence , elle avait commencé tout en gardant ce silence , et elle le laissait paître de briser le silence quand il le voulait ce qui se fit assez vite


-Le Japon , des livres et mon frère qui m'a dit que ça serait toujours utile. .

Elle passa alors à la pression . Elle ne descendrait pas réellement plus bas peut-être un peu mais elle n'allait pas lui donner plus que ce qu'il avait donné .

-Attention , je risque de vous prendre aux mots , j'ai bien envie de vous voir à ce point de relaxation .

Puis elle se pencha vers lui " Puis que gagnerais-je à faire tomber n'importe quel homme alors que j'ai celui que je veux à ma portée " puis elle se releva un peu " Frêle . " puis elle pensa à comment Elle avait vu Ciel ces derniers jours et mois

- Je ne peux pas vous dire oui


Puis elle alla légèrement plus loin au niveau de son dos pour pouvoir bien faire ce massage


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Yvan avait bien évidemment des pensées perverses et il lui disait souvent de bien prendre son temps et évidemment , ce n'était pas seulement une question de nettoyage . Puis c'etiat sa femme et il n'avait rien à dire d'autres .

Son nom de famille était Bragnonski même si peut de personne était au courant . Tant mieux , ça étonnait souvent les gens de les voir parler ainsi avec une ambiguïté pareille et un tel vocabulaire sanglant

-C'est vrai que c'est assez drôle de vous épauler et puis qui d'autre pourrez le faire . En passant la prochaine fois , je ferais en sorte que notre rendez-vous soit plus romantique avec plus de cris d'agonie et plus de bougie ... 



Puis il se décida à regarder les jambes de la demoiselle . Ah si il pouvait la déshabiller en publique et ...

- Une envie folle ? Des gens à voir ? Des têtes sur un plateau ? Un vin à goûter ? Une vierge à dep...

Il se coupa dans sa phrase quand il regarda un instant le corps " ou voulez vous jouer aux fléchettes sur des humains "

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Lizzy avait envie de s'énerver bien plus parce qu'il ne la croyait pas mais en même temps . Ça l'arrangeait , il ferait face à sa désillusion tout seul . Puis elle se demanda ou était son maître et ou était Ririchyo . Ils avaient si peu fait attention et leurs ventres devait gargouiller . Mais elle croisa les bras .. Son frère tout de même allait recevoir la claque morale de sa vie alors elle devait voir ça

Elle alla donc espionner Sebby et Grell

Dernière modification par natsuuko (2014-07-22 00:44:24)

-Je vois que vous devenez de plus en plus passionné . Pour mon prochain voyage , je vais devoir vous y emmener ... Enfin même si je ne comptais pas le faire avant un moment 

Puis elle regarda son dos . Elle n'était pas une investigatrice de génie mais aimait faire de la déduction et à cette façon de se crisper , elle comprit qu'un de ses gestes avait gêné . Ce n'était pas ses petits maux alors elle se dit que c'était le dos .

Elle cessa un instant . Serait-ce un pêche que de nourrir sa curiosité en posant sa main au beau millier du dos de Ciel ?

Son regard s'aventura sur ses épaules " Vous n'êtes pas à l'âge ou la carrure est vraiment à son maximum , vous avez battu un jeune homme plus grand que vous malgré vos air un peu frêle et à ce moment vous ne m'aviez pas  l'air si frêle et puis quand je suis dans vos bras je ne le ressens pas . Et surtout , un corps frêle n'est pas un soucis "

Elle regarda son dos et rajouta " C'est la carrure de l'âme , la plus importante . La votre cache tant de secret qu'elle ne doit en aucun cas sembler frêle "

Puis elle arrêta le massage . Elle ne ferait rien . Juste un sourire . " Je vais nous chercher un petit quelque chose en cuisine " et elle quitta un instant le bureau toujours en kimono . Son sourire s'estompant .

Pourquoi ne pas avoir agit ? Pour ne pas le blesser ? Le gêner ? Que cachait-il ? Peut-être une douleur passagère .

-L'amour rends aveugle mais pas à ce point ma pauvre Ririchyo . C'est bien cela d'etre trop perspicace

Puis elle vit alors Lizzy cacher derrière un poteau , Grell sang sue et Sebastian . Elle soupira . Décidément Elle se demandait si une personne était normale dans ce manoir . Elle vit alors Finny avec son sécateur et se dit que non .

Elle alla donc en cuisine pour chiper quelques petites choses ou deux


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Yvan se rappelait de ce rendez-vous et surtout de sa partie préférée . Enfin après les griffures dans le dos de sa maîtresse et femme , c'était d'avoir poussé ce brave homme " Vole , vole ! Tu peux y arriver ... Quoi que non ... Mince j'aurais du lui couper un bras avant ! " oui son jeu favoris était de pousser les suicidaires


-Oui , je suppose que je me rattraperai

Puis il prit le corps alors comme une belle demoiselle .

-Si on ouvrait les fenêtres de la calèche pour faire peur aux passants ! 

- Tout cela ne presse pas Ririchyo. Tant que je vous ai vous, je ne demande plus rien.

Il sentit ensuite la main de Ririchyo ralentir, avant de s'arrêter.

Ciel attendit quelques secondes mais rien ne vient. Il savait que Ririchyo devait être en train d' analyser la situation, et la laissa faire, curieux de savoir le choix qu'elle prendrait. Mais il était tout de même gêné.

Passant sa main dans ses cheveux, il expira le trop plein d'air emmagasiné dans ses poumons. Face à cette hésitation, il répondit tout de même à la jeune fille.

- C'est inutile de se comparer aux autres, je le sais. Cette fois là ou j'ai battu Harry était à l'épée. Il ne faut pas de grande force pour parvenir à désarmer son adversaire, mais une certaine agilité.

Que les gens frêles possédaient à l'inverse des gens comptant trop sur leurs muscles. On ne pouvait pas négliger ce point positif. Mais si quelqu'un voulait en venir au mains, il ne ferait pas le poids : sa seule chance serrait d'attendre Lizzy. Ou alors de se servir de ce pistolet qu'il trimballait toujours dans la doublure de ses vestes ...

Quand elle lui parla des secrets il ne rajouta rien. Il savait ou elle voulait en venir mais préféra ne rien dire sur ce sujet, étant de toute façon certain qu'avant la fin de la journée, il n'aura malheureusement plus de secrets à lui révéler. Il eut un petit rire face à cette constatation.

Il ne fit pas paraitre son soulagement quand elle retira sa main. Il se contenta juste de passer distraitement sa main dans ses cheveux.

Le jeune comte avait ensuite remit sa veste. Il s'attendait à l'accompagner mais à la place, la jeune fille partit seule à la quête de nourriture, le laissant seul dans la pièce.

Il baissa le regard et marcha sans but dans l'espace. Il voulait vraiment lui révéler, mais ne savait pas comme la jeune fille pourrait réagir. Ciel savait qu'elle n'était pas fragile, mais quelques chose comme ça ... Était quand même très ragoutant. Et encore pire à raconter si elle voulait des détails. De plus les souvenirs ressurgiraient. Mais ne pas lui dire signifierait se tourmenter sans cesse.

L'adolescent, las, s'assit sur la chaise en cuir devant le bureau. Ce dernier était ensevelit sous les montagnes de paperasses, qui ne laissaient même pas le loisir d'observer la porte. Se ravisant donc, il s'appuyait contre le bord de la fenêtre, s'étant permit à l'ouvrir. 

Que fallait-t-il faire ?


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-Alluka-

Yvan avait donc poussé l'homme ce jour là. Et elle avait applaudit - même si ce n'était pas la première fois qu'elle voyait ça, elle aimait toujours autant qu'il le fasse. Mais il était vrai qu'il aurait pût le torturer avant. Tout de même contente de sa sortie, elle n'avait rien dit.

Mais il y avait eu bien d'autres soirées mémorables. Comme cette fois ou il l'emmena pour la première fois à la potence en tant que spectateurs. Le bourreau était doué, très doué. Pour le peine elle ne l'avait pas tué.

- C'est une très bonne idée Yvan !

Elle marcha donc sur le corps pour rejoindre le fiacre de l'autre coté, avant qu'il puisse le prendre dans ses bras. La famille portera surement plainte sur ce manque de respect envers un mort ... Mais elle n'en avait que faire ! Ils ne pouvaient rien contre elle. Si ils l'enfermaient en prison elle les tueraient tous. Après tout elle avait déjà défoncer un couloir de murs blindés.

Personne n'osait rien contre elle. Ils n'avaient jamais assez de preuves pour l'inculper de tout ces meurtres, mais savaient qu'elle y était pour quelques chose. Mais elle ne faisait juste qu'éliminer ce que la reine lui demandait rien de plus. A part les fois ou elle en voulait encore ... Comme la femme et le boucher sur qui elle allait se défouler prochainement. 

La jeune fille s'installa donc sur la banquette.

- Met donc sa nuque sur le rebord de la fenêtre, que ça pendouille bien ...

Puis pour finir, elle donna la direction de la boucherie au cocher.

- Nous passerons au manoir après avoir finis ça ... Mais pas un mot d'accord ?

Elle regarda le cocher dans les yeux, son doigt sur sa bouche pour lui signifier que jamais ils ne s'étaient rendus là-bas. Jamais. Il hocha la tête quand elle fit mine de se couper la tête avec son doit après. Elle adorait faire peur aux gens ainsi ...

-Grell-

-Oh mon petit Sebas-chan ...

Petit ? Sebastian était bien plus grand que lui, plus vieux aussi ...

-Tu es si mignon quand tu essayes d'imiter la surprise ! Je ne savais pas que tu voulais aussi participer à cette mascarade, tu voulais me faire rire ? Que c'est mignon et gentil de ta part !

Traduction : Je ne crois pas à tout cela, et seul toi peut me faire changer d'avis, maisje t'aime tellement que c'est impossible, parce que je suis une faible et innocente jeune femme à qui le destin ne fera pas ça parce ...
BREF !

-Viens là que je te fasse un bisoooouuu !

Tout cela ne pouvait être qu'une conspiration de sa soeur jalouse. Après tout, n'avait-elle pas tenté de faire de lui de la bouillie ? Elle était jalouse de son si grand amûûûrrr ! avec Sebastian, ça ne pouvait être que cela ...

Ciel avait écouté toutes les paroles de Ririchyo sans rien dire, esquissant un petit sourire quelques fois. Il l’avait suivie du regard jusqu’à ce qu’elle sorte de la pièce, s’attardant quelques secondes sur la porte. Pour ensuite détourner le regard.

Toujours appuyé sur le rebord de la fenêtre, il se décida à se redresser. Puis il se planta devant un miroir juste en face, lui renvoyant son image. Il constata qu’il avait un peu grandit. Que ses cheveux étaient en bataille et qu’ils avaient légèrement poussés aussi … Il se mit donc à les discipliner. Sans succès.

Il avait l’impression d’avoir changé, et pourtant physiquement ce n’était pas vraiment  le cas. Tout ce qu’il savait c’est que, si jamais il n’avait rencontré Ririchyo, il n’aurait même pas fait attention à ce que le miroir lui renverrait. Il eut un soupir. Jusqu’à quand cette jeune fille pourrait-elle le changer ? C’était inacceptable de lui cacher un secret aussi gros. 

Il pensa à son visage. A ses cheveux, à sa manière d’être et de parler … Sa générosité. Grande et lumineuse. Lui n’avait jamais été si généreux. Encore moins à penser aider les pauvres dans la rue. Qu’avait –il fait ces dernière années au juste ? Penser à sa vengeance et broyer du noir. Bien sûr il pensait toujours autant à sa vengeance. Mais à présent sa vie semblait illuminée.

Puis le fruit de ses pensées rouvrit la porte, accompagnée d’une odeur de brulé. Quand elle lui dit que c’était un petit incident de parcours, il lui décrocha un sourire que seul elle pouvait provoquer.

- Ne dites rien … Bardroy ? Devina-t-il.

Il la rejoint en quelques enjambées et lui prit le plateau qu’elle tenait d’une main agile. « Je vais poser cela. » Ainsi il le déposa non-loin sur la petit table. Puis il revint vers elle et la regarda fixement, comme si il espérait trouver une réponse au plus profond de son être. « Merci. » Dit-il simplement. « Vous m’avez laissé le loisir de réfléchir. Et cette pièce est propre à la réflexion. » Il posa ses mains sur ses épaules. Peut-être se trompait-il simplement, mais il avait l’impression que Ririchyo l’avait laissé seul pour qu’il remette ses idées au clair.

- Je vais à présent vous demandez une chose. Ne faites pas de détours et répondez clairement.

Il marqua une pause avant de reprendre.

- Je sais que vous êtes digne de confiance mais je veux être certain d’une chose. Est-ce que, peu importe ce que je vous dis, votre vision de moi restera la même ? Puis-je me dévoiler en entier … Sans craindre un éloignement de votre part ?

Ciel s’en voulait à douter ainsi d’elle. Mais il voulait se rassurer, qu’elle lui dise que peu importe de quoi il s’agit, elle restera près de lui.

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-Alluka-

Le fiacre démarra, le cocher tremblant de tout son être. Alluka s’amusait à l’observer mais bientôt son regard se tourna vers Yvan qui avant magnifiquement bien positionné le cadavre pour qu’il fasse peur à tout le monde.

Avec amusement non feint, elle vint également s’appuyer près de la fenêtre, regardant les passants horrifiés. Ce n’était pas la première fois qu’ils voyaient pareils spectacles … Le couple était connu à Londres. Redoutés et connus. Mais ça faisait toujours le même effet.

Les rues s’enchainèrent. Ecoutant d’une oreille distraite son mari elle lui répondit enfin en se tournant vers lui.

- C’est pour m’amuser.

Elle s’étira les bras comme si elle était une vielle personne. « Je suis un peu rouillée ces temps-ci. » Dit-elle avec un air vraiment triste. « Bien sûr je ne peux pas dire que ces jeunes gens n'ont pas éveillés ma colère – ou pour la jeune femme la jalousie, si tu préfères. »
Elle vint s’étaler sur les genoux de son majordome, comme étant prise d’une grande fatigue.

- Quelle mauvaise jeune fille je fais ! Mais cela m’est bien égal.

Alluka lui donna un magnifique bisou sur la joue. « J’aime le sang et la violence. Et pas la couture et les bonnes manières. Mais tu adore ça pas vrai ? »

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- Sébastian -

Sébastian eut vite fait de décoller Grell de sa personne avant qu’il ne soit envahi de bisous et de câlins. Il resta perplexe quand le Shinigami le qualifia de « petit » mais ne fit rien. Il se contenta de regarder l’individu avec un soupir.

Maintenant qu’il le voyait de près – trop près à son gout mais soit – il faisait les liens avec Elsa. Horreur, pourquoi Grell … Il ne pouvait pas y avoir pire. Sébastian ne le détestait pas, il l’amusait parfois, mais il ne lui avait jamais porté beaucoup d’importance.

Il essaya à présent de faire la comparaison avec lui. Ils ne se ressemblaient pas vraiment … A part la forme du visage peut-être. Mais il se ravisa. S’il voulait ne pas plonger dans cette histoire, ce n’était surement pas l’heure de se comparer.

- J’aimerai que ce soit une mascarade Grell.

Le démon positionna rapidement une main sur le visage du shinigami, les yeux perdus devant lui. D’un ton qui aurait pu paraitre détaché il lui dit : « Il ne t’arrive jamais d’être sérieux ? »

Il tourna ensuite la tête en direction de la démone un peu plus loin. Il ne dit rien au début, puis lui indiqua ensuite de se montrer. « Voilà qui n’est pas très discret mademoiselle Lizzy. Mais je veux bien vous pardonnez : je n’aurais pas dû m’enfuir ainsi de ce qui doit être réglé à présent. »

Dernière modification par ornelle (2014-07-23 18:08:58)

Je n'avais pas vu du tout '0'
Merci Pens' ^^'

Et derien pour le "domine" =3

Cendrillon

"Rien n'est parfait"; "Tu n'y échapperas pas"...
Cela sonnait comme un compliment non? Le fait qu'il n'ait jamais faillit pour l'instant?

-Merci, Domine. remercia le Majordome en s'inclinant bien bas. Croyez moi, je ne risque pas de faire une erreur de si tôt.

Puis comme s'il avait lut dans les pensées du garçon, il ajouta:

-Vous pouvez compter sur moi.

Il se redressa en souriant, non, il ne comptait pas "trahir" son Maitre, pourquoi le ferait-il?
Pour l'instant, il avait tout à gagner à rester à ses côtés, et il en tirait même des avantages.
Soyons franc, Cendrillon avait tout de même une idée derrière la tête, mais rien ne voulait dire qu'il devait trahir son Maître pour y arriver!
Puis simplement, il se mit à suivre Viktor, l'accompagnant à son cours pour voir ses progrès, un sourire amusé se dessinant sur son visage lorsque Viktor se força à défroncer les sourcils.
C'était un bon garçon tout de même.

Ciel avait envie de rire à l’évocation de la dinde explosive mais le sujet était bien trop sérieux. Il devait paraitre bien imprésentable : les cheveux en bataille et le haut remis à la va vite et tenta donc de remettre un peu tout ça en place. Même si pour la suite cela s’avèrera bien inutile.

Il ne fit même pas attention à l’odeur de brulé qui émanait, non de la jeune femme, mais bien du thé. Il se contenta de la regarder elle.

- Vous m’en voyez navré : répondez donc comme vous en avez l’habitude. C’était précipité.
Ciel retira ses mains des épaules de la demoiselle avec un petit soupir. « Je vous rassure, je ne suis pas un bandit en cavale. Mais ce n’est pas que je ne suis pas prêt, c’est juste vous. Vous que je ne veux pas gêner, que je ne veux pas dégouter également … Le temps n’y changera rien. »

Il jeta un bref coup d’œil au miroir à sa droite.

- Toutes ces paroles n’ont pas beaucoup de sens, vous m’en voyez désolé. Mais la question est plutôt pour vous …

Le jeune comte reposa son regard sur elle, un petit sourire sur les lèvres. Voilà la vraie question.

- Etes-vous prête à pouvoir voir ou entendre n'importe quoi ?

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-Alluka-

La jeune femme s’était déjà lassée de ce qu’il se passait par la fenêtre et observait son majordome qui paraissait aussi rouillée qu’elle.

Mais il est vrai que de dos on pouvait presque le prendre pour un vieux bien conservé : ses cheveux tirants vers le blanc portaient à confusion. Alluka aimait beaucoup ses cheveux : ils étaient doux et soyeux. Vous pensez que la jeune fille n’aime que les choses ragoutantes et mortes ? Et bien observez sa chambre… D’un gout douteux certes, mais envahie de peluche douces dans tous les coins.

- Et pas l’âme parfaite ? Dit-elle avec un petit sourire taquin.

Puis le fiacre s’arrêta. Prise d’un soudain élan d’impatience, Alluka s’attendit même pas qu’Yvan lui ouvre la porte se jeta dehors. Ses gants enfilés en deux en trois mouvements elle mit ses mains sur ses hanches avec un grand sourire.

- C’est partit Yvan !

Dernière modification par ornelle (2014-07-23 21:29:42)

x Subaru x

Le majordome avait accompagné sa jeune maîtresse pour lui fermer sa robe, il en avait profité pour la regarder un peu... Mais elle était tellement belle, tellement séduisante, même si elle restait une jeune fille.
Elle avait beau n'avoir que 16 ans, sa maîtresse était déjà très mignonne, puis, c'était généralement à cet âge là que les filles se mariaient et avait des enfants... Donc Sora était "adulte" si on pouvait dire. Mais, Subaru n'accepterait jamais qu'elle se marie à contre coeur... Voir qu'elle se marie tout court. Mais bon, pour le moment, Sora n'y pensait pas!

Elle la regarda et sourit,
- Elle vous va vraiment à ravir... Nous la prenons? dit-il en lui ouvrant à nouveau, pour qu'elle l'enlève.

Ririchyo le regarda tout d'abord enlever sa veste . C'était donc quelque chose qui concernait donc sa peau et elle supposait qu'il devrait retiré aussi sa veste . Elle l'observa faire , ne pouvant rien ajouter , rien avancer .

C'était juste douloureux et encore à vif . C'était comme quand on enlevé un bandage, on y va doucement comme pour éviter de regarder et parce que ça fait encore mal . Elle observa donc Ciel . Oui une blessure comme à vif

Elle devait l'avoué c'était douloureux pour elle aussi de le voir ainsi . Elle agissait aussi lentement quand on lui enlevait ses gants .

Mais ce ne fut que quand elle sentit la cicatrice sous ses doigts qu'elle réalisa à quel point il était frêle et fort . Même si les deux n'allait pas ensemble il n'y avait que ces deux mots s'entrechoquant pouvant donner une définition du jeune homme . Elle ne se pensait pas aussi forte . Ou plutôt pas assez forte d'un coup . Elle avait une sainte horreur du sang , des plaies , ce n'était même plus une peur mais une phobie folle qui la dévorait .

Les plaies s'ouvrant si facilement , épée , couteau , fouet , arme à feu . Transperçant , fendant , déchirant la peau , montrant une couleur rougeâtre , éclaboussant la salle , teintant d'une couleur impure la salle un liquide couleur passion , aucune couleur , aucune imitation n'équivalait la couleur du rouge , aucune couleur pouvait faire crier de douleur l'être torturé . Le sang remontant dans la bouche , des caillots de sang , des hurlement , des corps qui tombent , des spasmes de douleur , une agonie , court , long , douloureux , malheureux , violent , lent . Les êtres aimés perdus , les êtres les plus infâmes voyant eux mêmes tout ce liquide coulé ....

Elle ferma les yeux et son premier geste fut de rétracter sa main .  S'enlever de ça , ça la faisait tellement souffrir rien que de penser à ce champs lexical , c'était comme des coups dans le ventre dans l'estomac ... Ça coupait le souffle . Ciel était fragile , très fragile comme tout les humains de ce monde , comme tout les êtres de ce monde .Elle avait longuement retenu son souffle elle finit par soupirer comme pour retirer toutes ces pensées de son esprit et laisser son corps doucement s'y faire . Elle posa une main non loin de son cœur comme pour cesser cette coupure dans le temps et le laisser battre .

Elle ne savait pas ce qui état le plus douloureux . Avoir l'impression d'être incapable de ne rien faire ou savoir qu'il avait souffert ainsi .

Elle avait l'impression de juste étouffer . Mais elle ne devait pas penser au fait que la cicatrice était la mais plutôt ce qu'elle représentait , l'effort de Ciel pour lui montrer , le fait qu'il avait subit bien des choses pour avoir cette cicatrice qui n'était pas la seule . Elle devait pensé qu'ils étaient deux âmes étroitement liés à présent .

Elle ouvrit les yeux .

-Je vais bien ... 

Elle allait demandé comment il avait eut "cela" , et qui avait bien pût faire ça et puis elle apercut cette marque . Elle se pencha doucement pour la regarder puis elle prit un air neutre avant de finalement se décider à effleurer doucement les cicatrices . Des fois elle se rétracta mais ce ne fut que pour revenir ces gestes aussi vite

C'était dure .

-Vous voyez ... Je suis là et rien ne changé à mes yeux à part le fait que votre modestie devient un défaut encore plus grave . Un délit . Si je ne me trompe pas cette marque est bien une marque faite au fer .. Comme pour ....


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( Je répondrais demain )

x Subaru x

Eh oui... Sora allait surement bientôt se marier, avoir des enfants... Mais, qui l'obligerait? Elle n'avait plus de famille, et aux dernières nouvelles, pas de prétendants. Alors, Subaru pouvait avoir l'esprit tranquille, personne ne viendrait lui enlever sa petite Sora.

Quand elle serra sa robe, Subaru esquissa un sourire, il l'avait vu plein de fois sans vêtements, mais la jeune fille était si timide. Ca l'amusait, alors, pour ne pas la frustrer plus, même s'il adorait ça, il avait concentrer son regard sur sa robe, juste une fraction de seconde sur son tatouage, mais très rapidement. Une fois fini, il s'écarta, s'inclina et obéit à son ordre en sortant et en allant l'attendre devant le paravent.

x Subaru x

Oui, les prétendants ne seront pas là avant quelques temps... Quelques années. Du moins, c'est ce qu'espérait Subaru. Il allait donc pouvoir profiter de sa jeune maîtresse.

Subaru adorait embêter sa maîtresse et la faire rougir, mais le majordome savait quand même se retenir! Il était dans un magasin, il n'allait pas commencer à faire des choses bizarres devant tout le monde. Non, il fallait qu'il se tienne.

Quand elle revint près de lui, il l'accueilli avec un joli sourire, puis, il prit sa robe et inclina la tête,
- Voulez vous voir les accessoires pour aller avec? demanda-t-il, des chaussures? un petit sac?

Ciel sentait le regard de Ririchyo sur lui. Bien que cela le gênait, il n’avait pas arrêté son geste et avait continué son action, toutefois sans la regarder en retour.

Lorsqu’il sentit les doigts tièdes de la jeune fille sur sa peau, il se contracta légèrement par réflexe. Mais après quelques secondes il se risqua un coup d’œil vers elle. Il guettait une réaction de dégoût – ou même de peur – venant de sa part. Ririchyo devait à présent avoir compris sa question. Était-elle prête ?

L’adolescent savait très bien que cette phobie la rongeait. Il n’espérait pas qu’elle l’accepte, si il fallait il se rhabillerait et ne lui en parlerai plus jamais.

Quand Ciel remarqua le teint blême de Ririchyo et sa respiration entrecoupée, il voulut partir, se cacher de sa vue, ou s’enterrer dans son jardin. Mais la voir ainsi le cloua sur place. Il ne savait pas ce  à quoi la jeune fille pensait au fond. Mais quand elle lui dit qu’elle allait bien, ses épaules s’affaissèrent de soulagement. Et une certaine tendresse s’installa.

- Tout ceci n’est pas très beau n’est-ce pas ? Dit-il avec un petit sourire triste.

Il sentit la main de Ririchyo sur sa peau, passant sur ses cicatrices. S’attardant sur certaines. Il la vit s’intéresser à sa marque.

- Oui, vous êtes toujours là … Et j’en suis profondément heureux. Même si je sais qu’au fond de vous cette vue doit être peu agréable.

Ciel remit une des mèches de la jeune fille derrière une de ses oreilles. Il y laissa sa main, caressant tantôt sa joue, tantôt jouant avec la base de ses cheveux.

Quand elle lui parla de la marque, il se tut quelques secondes. Mais se décida cependant à répondre.

- N’ayant pas peur de le dire. Comme pour le bétail, c’est tout à fait cela. Indélébile.

Dernière modification par ornelle (2014-07-28 11:24:32)